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Des moustiques transgéniques pour lutter contre le virus Zika et la dengue

Des moustiques transgéniques pour lutter contre le virus Zika et la dengue | EntomoNews | Scoop.it
La ville brésilienne de Piracicaba s'est lancée dans la production industrielle d'une arme pour éradiquer le virus Zika et la dengue : des moustiques mutants détruisant leurs homologues naturels en s’accouplant avec eux.

 

Par Yohan Cecere. Marianne, 28.10.2016

 

___________________________________________________________________

 

À (RE)LIRE :

 

→ Brésil. Une nouvelle usine pour produire davantage de moustiques transgéniques - From www1.folha.uol.com.br - January 24, 12:04 AM

→ Moustique : la lutte contre le "serial killer" s'organise - From www.sciencesetavenir.fr - June 15, 8:23 AM
 
→ Des moustiques génétiquement modifiés font baisser les cas de dengue de 91% au Brésil - From french.xinhuanet.com - July 16, 11:45 PM
                         
→ Pourquoi les moustiques génétiquement modifiés ne sont pas la solution miracle contre Zika - From www.usinenouvelle.com - August 8, 5:33 PM
 
→ Lutte contre les moustiques Aedes : de nouveaux outils prometteurs - From www.who.int - August 31, 6:54 PM    
                  
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Lutte contre les moustiques Aedes : de nouveaux outils prometteurs

Lutte contre les moustiques Aedes : de nouveaux outils prometteurs | EntomoNews | Scoop.it
Deux nouveaux outils pour supprimer les populations de moustiques Aedes aegypti ont été recommandés en vue d’études pilotes. Des essais soigneusement conçus seront nécessaires pour voir s’ils réduisent également la morbidité. Andréia Azevedo Soares fait le point.

Bulletin de l'Organisation mondiale de la Santé 2016;94:562-563. doi: http://dx.doi.org/10.2471/BLT.16.020816

 

[Image] Luciano Moreira (à gauche) et Scott O’Neill dans le laboratoire de Fiocruz. Cette cage est utilisée pour la reproduction des moustiques infectés par Wolbachia. (Eliminate Dengue Brazil)

                                   
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Bioingénierie. Des outils capables de détruire une espèce

Bioingénierie. Des outils capables de détruire une espèce | EntomoNews | Scoop.it
En permettant de modifier l’ADN avec une facilité déconcertante, les outils d’ingénierie génomique comme CRISPR-Cas9 ouvrent la voie à des questionnements éthiques et législatifs complexes.

 

Quelle éthique pour les ciseaux génétiques ? Par Léa Galanopoulo, CNRS Le journal, 20.06.2016

 

"... Selon Patrick Gaudray*, la question cruciale autour des CRISPR reste celle des applications non humaines. « Nous avons désormais des outils à portée de main qui permettraient de faire disparaître une espèce », souligne-t-il, faisant référence à une expérience de 2015 qui avait rendu stérile le moustique tigre, à l’aide des CRISPR, pour limiter la transmission de la dengue. « L’éradication du moustique est une réalité totalement envisageable aujourd’hui ! Les approches techno-centrées sont-elles justifiées, sachant qu’on affecte de manière irréversible la biodiversité ? », s’interroge le chercheur. Cette vision utilitariste est, en tout cas, déjà de mise aux États-Unis, où la Food and Drug Administration a autorisé la commercialisation de champignons de Paris modifiés, via des CRISPR, pour ne jamais noircir. A-t-on réellement besoin de modifier durablement ces organismes vivants dans un tel but ?"

(...)

 

[*] directeur de recherche en génomique au sein de l’unité Génétique, immunothérapie, chimie et cancer et membre, de 2008 à 2016, du Comité consultatif national d’éthique.

                         

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CRISPR/Cas9 : Une lignée mutante obtenue en un mois seulement

CRISPR/Cas9 : Une lignée mutante obtenue en un mois seulement | EntomoNews | Scoop.it
« Avant les CRISPR, obtenir un animal dont un ou plusieurs gènes avait muté était aussi laborieux qu’aléatoire, explique Nicolas Gompel, de l’université Ludwig-Maximilians de Munich (Allemagne). (...) Depuis moins d’un an, tout a changé. « Il me suffit de deux heures pour déterminer la séquence CRISPR contre le gène que je veux cibler, détaille Nicolas Gompel. Ensuite, je passe commande sur Internet à des entreprises spécialisées dans la confection de brins d’ADN des séquences CRISPR correspondantes. Après réception, nous les injectons dans les mouches que nous étudions. En un mois, nous obtenons nos mutants et, c’est le plus important, exactement ceux que nous désirions.

(...)

 

Par Hervé Ratel. Sciences et Avenir, 22.03.2016

 

[Image] Drosophila melanogaster (By Nicolas Gompel and Benjamin Prud’Homme) - Fly stocks – CRISPR fly design
http://www.crisprflydesign.org/789-2/

                       

Bernadette Cassel's insight:

 

SUR ENTOMOSCIENCE - From www.sciencesetavenir.fr - Today, 7:06 PM :
→ CRISPR/Cas9 : la révolution de la chirurgie du gène

                              

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Zika : comment l'Institut Pasteur se mobilise contre le virus

Zika : comment l'Institut Pasteur se mobilise contre le virus | EntomoNews | Scoop.it
Pour lutter contre la transmission du virus Zika, la dengue et le chikungunya, l'Institut Pasteur tente de développer des moustiques incapables de transmettre le virus. 

 

Par Anne-Laure Lebrun. Pourquoi Docteur, 21.01.2016

 

"... À l’Institut Pasteur, les spécialistes des insectes vecteurs et arbovirus tentent donc de mettre au point des méthodes alternatives. L’une d’elles est le développement de moustiques incapables de transmettre le virus. En laboratoire de haute sécurité, ils infectent les moustiques puis les dissèquent afin de mieux comprendre la progression du virus dans leur organisme. Grâce à ces expériences, ils espèrent découvrir à quel moment cette progression peut être interrompue afin de bloquer la transmission à l’homme.

 

En parallèle, d’autres équipes de recherche manipulent génétiquement ces moustiques. Certaines essayent de stimuler la réponse immunitaire du moustique lorsqu’il est infecté. « Cet insecte peut héberger 1 milliard de particules virales sans être malade. Nous essayons donc de comprendre ce qui le protège », explique la chercheuse.

 

D’autres, comme la société britannique, Oxitec, développent des moustiques génétiquement modifiés, dont la survie dépend d'une molécule particulière. Or, celle-ci n’est pas présente dans leur milieu naturel, ces insectes sont donc voués à une mort certaine. L’objectif de ce type d’approche est de lâcher ces moustiques OGM dans la nature afin qu’ils se reproduisent et donnent naissance à une descendance non viable.


Mécaniquement, cette approche permet de réduire la population de moustiques et donc les risques de transmission du virus. Mais pour Anna-Bella, cette technique peut s’avérer dangereuse. « Elle mène à une éradication du moustique ce qui signifie qu’une niche écologique sera vacante. Elle pourrait être remplie par d’autres moustiques, comme Aedes albopictus. Ainsi, cette stratégie pourrait être efficace si elle s’applique à plusieurs espèces, mais je ne suis pas sûre qu’elle le soit à long terme », conclut la spécialiste."

 

___________________________________________________________________

 

[Image] via "Zika, 21/06/2016, http://www.pasteur.fr/fr/institut-pasteur/presse/fiches-info/zika"

 

"L’Institut Pasteur mobilise actuellement, au sein d'une task force coordonnée par Maria Van Kerkhove, plusieurs de ses unités de recherche pour développer des tests de diagnostic sérologique et moléculaire, travailler sur la conception de nouveaux vaccins et fournir des conseils sur les différentes options en matière de lutte contre les vecteurs. Ses équipes mènent également des études épidémiologiques, notamment afin de mieux comprendre les symptômes neurologiques observés chez les patients, et en particulier chez les femmes enceintes."

 

[Image mise à jour le 17/07/2016 via http://www.pasteur.fr/fr/search/site/moustique%202016, le lien de l'ancienne image n'étant plus accessible]

                              

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CRISPR, la technologie qui bouleverse la biotech

CRISPR, la technologie qui bouleverse la biotech | EntomoNews | Scoop.it

La démocratisation de la manipulation génétique pourrait entraîner d’autres complications car elle permettrait le développement d’une autre technique : celle du “gene drive” (traduisons cela par “transmission du gène”). Celle-ci se propose de répandre rapidement un gène modifié dans toute une espèce. En général, nous explique Nature, les manipulations génétiques n’ont que peu de chances de se répandre chez les organismes évolués. En effet lors de la reproduction, ceux-ci ne cèdent que la moitié de leur génome, et donc leur descendance n’a qu’une chance sur deux d’hériter du gène modifié. Le “gene drive”, une technique encore à l’état d’ébauche, devrait permettre de copier un gène modifié sur le chromosome du partenaire, donnant ainsi toutes les chances aux enfants d’hériter de la modification en question. Par exemple, continue Nature, on pourrait utiliser un gène pour réduire la fertilité de moustiques transportant la malaria. Toute une population d’insectes pourrait être ainsi éliminée en une saison. Ce qui est très joli sur le papier, mais ouvre bien sûr tout un ensemble d’interrogations sur les transformations écologiques qu’une telle intervention pourrait impliquer, voire les catastrophes qui pourraient en émerger. En général, on se débrouille plutôt pour qu’un OGM ne se répande pas dans la nature, pas pour qu’il y prospère le plus rapidement possible. Du coup, certains chercheurs (dont le généticien George Church, qu’on ne peut pourtant guère soupçonner d’être un luddite convaincu) ont cru bon de tirer la sonnette d’alarme dans un article [1] paru dans Science et disponible sur le site de l’université de Harvard (.pdf) [2]. A noter que le “gene drive” ne peut se révéler efficace que sur des animaux à reproduction sexuée et très fréquente. Autrement dit les insectes. Cela ne pourrait avoir la même efficacité avec des organismes à la reproduction rare, comme les mammifères évolués, dont bien sûr l’être humain.


Par Rémi Sussan. Internet Actu, 12.10.2015


[1] Regulating gene drives - Science, 17.07.2014
http://www.sciencemag.org/content/345/6197/626.full?sid=16d1ba2b-eedf-4efb-99ee-267cb0337377


[2] Science Magazine - Science-Oye.pdf
http://wyss.harvard.edu/staticfiles/documents/Science-Oye.pdf


[Image] How endonuclease gene drives spread altered genes through populations

                                                                                                    

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SUR ENTOMONEWS - From www.sciencepresse.qc.ca - August 14, 11:14 AM :

Jongler avec les gènes : le tour des moustiques ?

                                 
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inDroso : des mouches pour la recherche

inDroso : des mouches pour la recherche | EntomoNews | Scoop.it

"Installée à Rennes (Ille-et-Vilaine), la société inDroso élève des mouches génétiquement modifiées, à destination de la recherche biomédicale."


Portail de l'innovation en Bretagne, 17.09.2015


« Les mouches, nouvel outil de recherche ? Pas de doute pour Roland Le Borgne, cofondateur de inDriso et chercheur de l’Institut de génétique et développement de Rennes : « 80 % des gènes identifiés à des pathologies humaines sont conservés chez la drosophile ». En effet, cette espèce possède un ancêtre commun avec l’homme, qui partage avec l’insecte des caractéristiques génétiques. La drosophile, également appelée « mouche à fruit », présente l’avantage d’être petite et facile à élever : sa reproduction est rapide, et sa culture ne soulève pas de problème d’éthique — contrairement à la souris, traditionnellement utilisée pour les tests. »  

« En travail depuis 3 ans, ce projet permet aux laboratoires d’identifier les liens entre pathologie et mutation génétique, par une technique baptisée « Crispr/Cas9 », qui consiste à remplacer une séquence d’ADN dans le génome de la drosophile. Une dizaine de mutations ont déjà été réalisées, et une vingtaine sont en cours. 


Source : « La génétique fait mouche », Science-Ouest de septembre 2015


[Image] La génétique fait mouche | Espace des sciences
http://www.espace-sciences.org/sciences-ouest/334/actualite/la-genetique-fait-mouche

                      

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Jongler avec les gènes : le tour des moustiques ?

Jongler avec les gènes : le tour des moustiques ? | EntomoNews | Scoop.it
"S’il devient possible d’insérer une mutation génétique qui pourrait être transmise aux descendants, c’est le rêve de ceux qui combattent des maladies transmises par des moustiques... et le cauchemar des autres." 
                      
Agence Science-Presse, 13.08.2015             
                      
"C’est un peu le débat suscité par le développement de cette nouvelle technologie d’édition de gènes, appelée CRISPR. Déjà, elle a suscité la controverse depuis le début de l’année,en raison des possibilités de manipulations du génome humain qu’elle ouvre toutes grandes.

Ce printemps, une nouvelle recherche publiée dans Science a décrit une expérience chez des mouches à fruits — élargissant du coup le débat : que se passera-t-il le jour où on voudra envoyer ces insectes dans la nature? Par exemple, des insectes que l’on aurait transformés pour qu’ils soient incapables de transmettre la malaria?

C’est une des questions qui était au coeur de la première d’une série de rencontres spéciales de l’Académie américaine des sciences le 30 juillet. C’est qu’on n’est plus dans la science-fiction : en trois ans, CRISPR s’est développé très vite et plusieurs pays, outre la Chine et les États-Unis, travaillent en ce moment même à des applications, en santé humaine et animale."               

                            

[L'étude] The mutagenic chain reaction: A method for converting heterozygous to homozygous mutations, Science, 24.04.2015

                
[Image] Malaria-carrying mosquitoes (Anopheles gambiae) are a prime target for gene-editing techniques.
via "Caution urged over editing DNA in wildlife (intentionally or not)" : Nature, 04.08.2015 http://www.nature.com/news/caution-urged-over-editing-dna-in-wildlife-intentionally-or-not-1.18123?WT.mc_id=TWT_NatureNews
                            
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SUR ENTOMONEWS

From www.cnev.fr - June 19, 8:42 AM :

→  Découverte d'un "facteur M" chez Aedes aegypti

                           

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Le lâcher de mouches OGM sur la Catalogne aura-t-il lieu ?

Le lâcher de mouches OGM sur la Catalogne aura-t-il lieu ? | EntomoNews | Scoop.it
Ces insectes pourraient être "expérimentés" près de la ville de Tarragone. De nombreuses organisations environnementales demandent l'annulation de cet essai de la société britannique Oxitec.
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SUR ENTOMONEWS

From www.infogm.org - July 30, 5:57 PM :

→  Espagne - Une mouche OGM pour sauver les oliviers ?

                  

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États-Unis - Des papillons OGM pour sauver choux et colzas ?

États-Unis - Des papillons OGM pour sauver choux et colzas ? | EntomoNews | Scoop.it


Par Christophe Noisette. Inf'OGM, octobre 2014


« Le ministère de l’Agriculture des États-Unis (APHIS - USDA) vient de conduire une étude d’impact environnemental suite à la demande, en 2011, de l’entreprise Oxitec, de lâcher dans l’environnement, à titre expérimental, un papillon génétiquement modifié (Plutella xylostella, OX4319), un parasite important des choux, colzas et autres plantes de la famille des Brassicacées. » 


« Cette étude est désormais mise en consultation, et quelques ONG (GeneWatch, Center for Food Safety, et d’autres...) dénoncent une étude d’impact globalement incomplète. Après les moustiques transgéniques, les mouches du fruit, voici donc une nouvelle innovation de l’entreprise Oxitec, à l’affiche en ce moment, malgré des évaluations toujours aussi défectueuses et une opacité totale. »


Sommaire  

[...] 


___________________________________________________________________

ET AUSSI :

• Après le moustique OGM au Brésil, le papillon génétiquement modifié à New York - Basta ! (16/10/2014) 

http://www.bastamag.net/Apres-le-moustique-bientot-un



AUTRES LIENS (en anglais) :

                       

→ Genetically-modified insects: under whose control? - SwissAid (novembre 2012) http://www.swissaid.ch/sites/default/files/Regnbrief-fin3.pdf


→ Diamondback moth | Oxitec
http://www.oxitec.com/agriculture/our-products/diamond-back-moth/

                                                                   

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Brésil - Les moustiques OGM sont-ils inefficaces ?

Brésil - Les moustiques OGM sont-ils inefficaces ? | EntomoNews | Scoop.it

Par Christophe Noisette. Inf'OGM. « Modifiés par transgenèse pour être « stériles » afin de réduire les populations de moustiques Aedes aegypti vecteurs de la dengue, les moustiques mis au point par l’entreprise Oxitec avaient été lâchés en 2013 en grand nombre dans plusieurs municipalités brésiliennes. Cependant, l’efficacité de ce moustique génétiquement modifié est remise en cause. »

« Dans l’État de Bahia, au nord est du pays, la municipalité de Jacobina avait accepté de servir de zone test pour ce moustique transgénique… L’entreprise Oxitec a annoncé que les lâchers expérimentaux avaient commencé en juin 2013 et devaient se prolonger sur une période de deux à trois ans [1]. Or, quelques mois après les lâchers, en février 2014, la municipalité vient de décréter l’état d’urgence sanitaire face à une recrudescence de l’épidémie de dengue. Pourtant, auparavant, l’entreprise en charge de la production à grande échelle de ces moustiques GM, Moscamed, avait rapporté une réduction de 81 % à 100 % des cas de dengue dans au moins deux quartiers de Jacobina. »

« Au cours des débats à la CTNBio, l’organe en charge de l’évaluation des OGM au Brésil, un des membres de la Commission avait émis un avis négatif : il soulignait que la réduction de la population du moustique Aedes aegypti pouvait, dans certains cas, aggraver la situation. La dengue peut en effet aussi être transmise via d’autres espèces de moustique, comme par exemple Aedes albopictus. Cet avis n’avait pas été écouté. Il semblerait que le terrain lui donne raison. Mais cette recrudescence pourrait aussi venir de la non disparition du moustique Aedes aegypti du fait d’un échec de la stérilité de la descendance des moustiques transgéniques. Une enquête officielle et publique s’impose. »

« En tout état de cause, des associations en faveur du développement de l’agroécologie et contre les OGM, comme l’AS-PTA, Third World Network ou encore GeneWatch, demandent à l’Anvisa, l’agence nationale de vigilance sanitaire, qu’elle exige des entreprises Moscamed et Oxitec la publication, dans une revue scientifique et reconnue, des résultats de leur expérimentation en milieu ouvert. Et elles demandent que les lâchers soient suspendus jusqu’à ce que l’incidence de ces insectes transgéniques sur la dengue soit clairement documentée et qu’un programme de surveillance efficace soit mis au point. »


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SUR ENTOMONEWS

From ecologie.blog.lemonde.fr - April 18, 5:35 PM :

Le Brésil va lâcher des millions de moustiques OGM contre la dengue


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L’Europe s’apprête à ouvrir la porte aux animaux et insectes génétiquement modifiés !

L’Europe s’apprête à ouvrir la porte aux animaux et insectes génétiquement modifiés ! | EntomoNews | Scoop.it

 

Communiqué de presse des Amis de la Terre


Montreuil, le 22 avril 2013 – Les Amis de la Terre ont été informés des dernières décisions de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (l’AESA ou EFSA en anglais) par un communiqué de Gene Watch Royaume-Uni.

 

Lors de sa dernière réunion à Parme (Italie), l’AESA a adopté les orientations pour l’évaluation des risques environnementaux liés aux animaux GM. Sont concernés – pour l’instant – les poissons, les insectes, les oiseaux et les mammifères de fermes ou domestiques.

 

 

Pour Madame Wallace, directrice de Gene Watch Royaume-Uni : « En adoptant ces règles, l’AESA ouvre la voie à la production commerciale de poissons et d’insectes GM, d’animaux de fermes GM comme les cochons et les vaches, que nous retrouverons dans nos champs, nos rivières, nos mers et dans les airs ».

 

[...]

 

 

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Santé : l'impact des insectes génétiquement modifiés

Santé : l'impact des insectes génétiquement modifiés | EntomoNews | Scoop.it

Pour lutter contre les maladies transmises par les moustiques, une entreprise anglaise, Oxitec, veut diffuser dans la nature des moustiques génétiquement modifiés. Alors que les vaccins font défaut, la technologie est en passe de séduire le Brésil.


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À propos de moustiques GM, d''autres articles :

Des insectes OGM de Syngenta bientôt dans la nature ?
International – Des moustiques OGM « stériles » qui se reproduisent...
Insectes génétiquement modifiés : une aberration écologique


Le rapport “Genetically modified insects: under whose control?” peut être téléchargé sur le site de la Déclaration de Berne (DB) et de SWISSAID  
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L’AGM (abeille génétiquement modifiée) est prête à essaimer

L’AGM (abeille génétiquement modifiée) est prête à essaimer | EntomoNews | Scoop.it
... des chercheurs japonais viennent d’appliquer une technique d’édition du génome appelée CRISPR-Cas9, une enzyme découverte en 2012 et utilisée pour modifier aisément l’ADN. Grâce à cette méthode, le sperme des mâles porteurs du transgène peut facilement être récolté pour être utilisé dans le cadre de procédures d’insémination artificielle de reines, courantes en élevage. La porte est ouverte à la transmission de transgènes vers des colonies entières.

(...)

 

Par Agnès Fayet. Butine.info, 13.10.2016

 

Références :

 

(1)  Schulte, C., Theilenberg, E., Müller-Borg, M., Gempe, T., & Beye, M. (2014). Highly efficient integration and expression of piggyBac-derived cassettes in the honeybee (Apis mellifera). Proceedings of the National Academy of Sciences,111(24), 9003-9008.

 

(2) Kohno, H., Suenami, S., Takeuchi, H., Sasaki, T., & Kubo, T. (2016). Production of Knockout Mutants by CRISPR/Cas9 in the European Honeybee, Apis mellifera L. Zoological Science, 33(5), 505-512.

                    

 

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Des moustiques génétiquement modifiés font baisser les cas de dengue de 91% au Brésil

Des moustiques génétiquement modifiés font baisser les cas de dengue de 91% au Brésil | EntomoNews | Scoop.it
Des moustiques génétiquement modifiés lâchés au Brésil par la compagnie britannique Oxitec sont parvenus à réduire les cas de dengue de 91 % en un an, ont révélé jeudi des sources officielles.

 

[Image] Aedes aegypti via "Cases of Dengue Drop 91 Percent Due to Genetically Modified Mosquitoes" – Entomology Today
https://entomologytoday.org/2016/07/14/cases-of-dengue-drop-91-due-to-genetically-modified-mosquitoes/

                     

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Moustiques GM et stratégies de lutte anti-vectorielle | Haut Conseil des Biotechnologies (HCB)

Moustiques GM et stratégies de lutte anti-vectorielle | Haut Conseil des Biotechnologies (HCB) | EntomoNews | Scoop.it
Le HCB a été saisi le 12 octobre 2015, par la ministre en charge de l’environnement, d’une demande relative à un éclairage concernant l’utilisation de moustiques génétiquement modifiés dans le cadre de la lutte contre les populations de moustiques vecteurs de maladies. L’expertise du HCB sera lancée le 2 mars 2016 par un séminaire de travail ouvert aux membres du Comité scientifique et du Comité économique, éthique et social du HCB, en présence de plusieurs experts mondialement reconnus du domaine, pour faire émerger les questions qui devront être traitées au HCB.

 

HCB, 01.03.2016

 

[Image] Programme du séminaire
http://www.hautconseildesbiotechnologies.fr/sites/www.hautconseildesbiotechnologies.fr/files/file_fields/2016/03/01/programme-seminairehcb2mars2016.pdf

                      

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Zika - La République dominicaine ne veut pas du moustique OGM, l'OMS demande plus d'étude

Zika - La République dominicaine ne veut pas du moustique OGM, l'OMS demande plus d'étude | EntomoNews | Scoop.it
Le virus Zika continue d’avancer, notamment en Amérique latine. Tous les pays de la zone caribéenne sont désormais touchés. Selon un rapport épidémiologique de l’Organisation de la Santé pan-américaine (Pan American Health Organization, PAHO), 24 pays (sur les 35 du continent américain) ont confirmé la présence du virus Zika sur leur territoire. Mais pour la majorité de ces pays, ainsi que pour l’OMS, le lâcher de moustiques génétiquement modifiés n’est pas une solution.

 

Par Christophe Noisette. Inf'OGM, 03.03.2016

 

"Utiliser des méthodes « classiques » plutôt que les moustiques GM... Le forcing d’Oxitec en échec, même auprès de l’OMS"

(...)

 

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Paludisme : des moustiques génétiquement modifiés pour enrayer l’épidémie

Paludisme : des moustiques génétiquement modifiés pour enrayer l’épidémie | EntomoNews | Scoop.it
Dans une lettre publiée ce lundi dans « Nature Biotechnology », une équipe de chercheurs de l’Imperial College de Londres explique comment ils sont parvenus à modifier génétiquement une espèce d’anophèle afin de la rendre infertile.


[L'étude] A CRISPR-Cas9 gene drive system targeting female reproduction in the malaria mosquito vector Anopheles gambiae : Nature Biotechnology, 07.12.2015
http://www.nature.com/nbt/journal/vaop/ncurrent/full/nbt.3439.html


[Anopheles gambiae]

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Des OGM "cachés" dans les pays et territoires d’Outre-mer ?

Des OGM "cachés" dans les pays et territoires d’Outre-mer ? | EntomoNews | Scoop.it
L’association STOP OGM Pacifique a interrogé la DG « Coopération internationale et Développement international » (DG Devco) de la Commission européenne, sur l’application de la réglementation européenne en matière d’OGM dans les Pays et Territoires d’Outre-mer (PTOM).


Inf'OGM n°136, septembre / octobre 2015


« [...] Oxitec par exemple, leader mondial des insectes GM, a réalisé aux Iles Caïmans en 2009 ses premiers lâchers de moustiques transgéniques sans que les clauses du Protocole de Carthagène, ratifié par la Grande-Bretagne, n’aient été respectées, en particulier celles relatives à l’information du public [5]. La même entreprise a démarché l’Institut Pasteur de Nouvelle-Calédonie pour des essais de moustiques GM sur l’île de Tiga dans l’archipel des Loyautés. Il faut avouer que l’on y rencontre des conditions idéales : Tiga est une île de 10 km², peuplée de 150 habitants et particulièrement isolée du reste du territoire ; un mini-laboratoire, bénéficiant à proximité de l’implantation d’un institut de recherche français, au moment même où l’Europe se trouve confrontée à la propagation des moustiques vecteurs du Zika ou de la Dengue [6]. »


« Papayes et bananes (dans le Pacifique), café (en Guyane [7]), moustiques (aux Iles Caïmans), autant d’OGM « exotiques » expérimentés et potentiellement cultivés dans les « paradis tropicaux » européens pour lesquels peu d’informations sont disponibles dans les États membres de l’UE. [...] »


[...]


« [...] Souhaitant que la lumière soit faite dans ces bouts d’Europe aux quatre coins du globe, STOP OGM Pacifique réalise actuellement un inventaire des dispositifs réglementaires des 24 PTOM européens [9] »
 

[9La liste de ces PTOM est sur http://www.stopogmpacifique.org

                            

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Le gouvernement catalan refuse de recourir aux mouches OGM

Le gouvernement catalan refuse de recourir aux mouches OGM | EntomoNews | Scoop.it
Il n’y aura pas de mouches OGM dans les oliveraies espagnoles. Ainsi en a décidé le gouvernement catalan, début août, estimant que les risques de voir ces insectes transgéniques s’échapper dans la nature étaient trop élevés. Imaginés par la société britannique Oxitec, connue pour avoir vendu des millions de moustiques OGM au Brésil (notre article), les mouches OGM sont censées venir à bout de la mouche de l’olivier. Ce parasite, qui pond ses larves dans les fruits – entraînant leur pourrissement, occasionne chaque année de lourdes pertes pour les producteurs. Et il a finit par s’accoutumer aux insecticides, lesquels s’avèrent de moins en moins efficaces.


Par Nolwenn Weiler. Basta, 31.08.2015


« L’idée d’Oxitec, c’est de lâcher des mouches génétiquement modifiées pour qu’elles s’accouplent avec leurs homologues naturelles, lesquelles donneront des descendants femelles qui mourront au stade de larves, à l’intérieur des olives dont elles se nourrissent. 5000 de ces mouches devaient être lâchées chaque semaine, sur une surface d’environ 1000 m². Le tout sous filets, histoire de mieux observer les effets produits. Mals un filet n’est pas très étanche. Et les risques de dissémination ont alerté de nombreuses organisations espagnoles et européennes, qui ont rédigé un texte commun, appelant au refus de la demande d’Oxitec [1]. »


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[Image] Une société britannique prévoit de disséminer des mouches génétiquement modifiées en Espagne, menace sur la biodiversité (CP collectif européen 28_07_2015).pdf


[1Parmi les signataires du texte appelant à refuser la demande d’Oxitec : les Amis de la terre Espagne, Greenpeace, le Criigen (comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie génétique), la fédération nationale française de l’agriculture biologique...

                               

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Mouche de l'olivier : des essais d'OGM attendus en Espagne

Mouche de l'olivier : des essais d'OGM attendus en Espagne | EntomoNews | Scoop.it

"La fédération de l'agriculture biologique (Fnab), Greenpeace, le Criigen (Comité de Recherche et d'Information Indépendantes sur le génie Génétique), Générations Futures et 14 autres organisations alertent sur le projet de dissémination de mouches mâles génétiquement modifiées dans des oliveraies espagnoles. Une demande de la société Oxitec a été adressée mi juin à la Commission européenne afin d'obtenir une autorisation pour commencer l'essai début août 2015."

       

Lucile Delettre, Campagnes et environnement, 03/08/2015

                                   

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SUR ENTOMONEWS


Le lâcher de mouches OGM sur la Catalogne aura-t-il lieu ?

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Espagne - Une mouche OGM pour sauver les oliviers ?

Espagne - Une mouche OGM pour sauver les oliviers ? | EntomoNews | Scoop.it

Oxitec, une start-up britannique, liée à l’Université d’Oxford et à la multinationale Syngenta, est spécialisée dans la production d’insectes génétiquement modifiés dont les mâles sont stériles… Leur stratégie vise à disséminer des grandes quantités de ces insectes transgéniques pour qu’ils s’accouplent avec leurs homologues naturels et ainsi, tenter de diminuer la prolifération de la population en diminuant son taux de reproduction.
Oxitec, qui a déjà reçu une autorisation commerciale au Brésil pour lâcher des moustiques mâles stériles [1], a annoncé des essais en champs dans l’état de New-York avec des papillons génétiquement modifiés (Plutella xylostella, OX4319), un parasite important des choux, colzas et autres plantes de la famille des Brassicacées [2]… Et, en Espagne, en 2013, Oxitec avait déposé une demande d’essai en champ pour disséminer des mouches de l’olivier (Bactrocera oleae, OX3097D-Bol), elles encore, mâles stériles. Les autorités catalanes, sans doute sous la pression de la société civile, n’avaient pas donné leur accord à cet essai. En juin 2015, Oxitec a re-deposé la même demande d’essai [3] en champs pour un lâcher à huit kilomètres au nord de Tarragona. Le gouvernement espagnol n’a pas encore donné son consentement à cette demande, peut-on lire sur le site du centre de recherche commun (JRC) de l’Union européenne… Si cette demande était acceptée, ce serait la première dissémination d’animaux transgéniques dans l’Union européenne…

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Les asticots OGM débarquent dans l’Union européenne

Les asticots OGM débarquent dans l’Union européenne | EntomoNews | Scoop.it
Le Brésil a autorisé, en avril, la dissémination dans l’environnement, à titre expérimental, de la mouche méditerranéenne des fruits (Ceratitis capitata) transgénique de l’entreprise Oxitec. Cette mouche peut s’attaquer à 200 espèces de fruits. Les asticots se nourrissent de la pulpe et provoquent des pourritures, lesquelles engendrent notamment la chute prématurée des fruits.



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Des mouches OGM pour sauver les olives

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Magazine GoodPlanet Info. « Des mouches transgéniques pourraient bientôt  servir à lutter contre les dommages causés par d’autres mouches dans les cultures d’olives d’Europe. Pour lutter contre un ravageur des cultures d’oliviers, la mouche de l’olive, une entreprise a en effet développé une version génétiquement modifiée de l’insecte. La version OGM du mâle de la mouche est équipée d’un gêne empêchant la perpétuation de l’espèce. Ce gêne doit entrainer la mort des femelles nées de la reproduction entre un  mâle  OGM et une femelle dans la nature. »


Des mouches OGM au secours des oliviers

« L’entreprise britannique Oxitec vient ainsi de déposer une demande d’autorisation pour effectuer des expérimentations en champs de cette technologie, rapporte la BBC le 20 novembre. Selon le site anglais, c’est la première fois qu’une entreprise dépose demande à tester l’introduction d’un insecte génétiquement modifiée dans des cultures.  Les tests, si l’autorisation est accordée par les autorités espagnoles, auront lieu en Espagne dans des oliviers recouverts de filets pour éviter la fuite des mouches OGM. »


Craintes autours de ces essais transgéniques

« Cette expérimentation fait craindre un risque de contamination. Helen Wallace de l’ONG Genewatch, dont la mission est de surveiller l’usage des OGM, explique ses craintes : "Nous ne pensons pas que cette technologie soit très efficace. Ces mouches ne sont pas stériles Elles vont produire une descendance. Et les descendantes sont programmées pour mourir au stade larvaire, ce qui signifie qu’il restera encore beaucoup d’asticots OGM dans ces olives." »


Les mouches transgéniques, une alternative aux pesticides

« Co-fondateur et responsables scientifique chez Oxitec, Dr Luke Alphey justifie ce choix technologique :  "La mouche de l’olive est le principal ravageur des cultures d’olives. Dans une mauvaise année, vous pouvez perdre une récolte entière. Et il s’agit d’un ravageur très difficile à contrôler. Il a été traité avec des insecticides mais face auquel il y  a désormais de nombreuses résistances." »

« En Europe, près de 5 millions d’hectares d’olives sont cultivées. Ce n’est pas la première fois que l’idée de modifier génétiquement des insectes trouve une application puisque de telles technologies sont déjà expérimentes dans le cadre de la lutte contre le paludisme, par exemple : sur le même principe, des moustiques sont modifiés génétiquement pour faire en sorte que leur descendance ne soit pas viable. » 

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SUR ENTOMONEWS


→  Kabylie. La récolte oléicole compromise ?


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Des gènes de pucerons pour tuer les pucerons

Des gènes de pucerons pour tuer les pucerons | EntomoNews | Scoop.it

Pour se débarrasser des pucerons, plusieurs procédés peuvent être mis en œuvre.

 

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Une autre approche consiste à transférer dans la plante un gène codant pour une multitude d’ARN interférents qui ciblent et inactivent spécifiquement l’ARN messager d’un gène essentiel pour la survie des pucerons. Ce procédé n’est exploitable qu’en raison du fait inattendu que les insectes qui mangent des gènes codant pour des ARN interférents gardent ces gènes qui produisent en continu les ARN interférents en question. Les pucerons mangent donc les ARN interférents qui les tuent sans que la plante ne soit affectée.

 

Bernadette Cassel's insight:

 

→ Using their genes against them: Fighting insect pests with genetic targeting

http://www.bbsrc.ac.uk/news/food-security/2013/130107-f-fighting-insect-pests-with-genetic-targetin.aspx

 

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