Une équipe de chimistes de l'université a mis au point une technologie « dépolluante »
Lunettes vissées sur le nez et gants enfilés, dans son labo de l'université de Nice, Matthieu Sonnati compose et décompose les molécules de peinture. Dans sa ligne de mire, un polluant de l'air intérieur, classé comme « cancérigène certain » par l'Organisation mondiale de la santé. Son nom ? Le formaldéhyde, un « composé organique volatile » (COV). « On le retrouve dans les colles de tous les meubles et il serait responsable d'allergies chez les enfants », détaille le chimiste de 29 ans, qui vient de mettre au point avec son équipe une peinture éliminant cette molécule.
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C'est le retour de Papy Claude pour notre rubrique "greenwashing" avec une peinture qui absorbe le CO2. Qu'en pense t'il ?