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Quelques informations sur l'entreprise et l'immobilier à Toulouse
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Pour la rentrée, le Crous propose près de 300 nouveaux logements aux étudiants de Toulouse

Pour la rentrée, le Crous propose près de 300 nouveaux logements aux étudiants de Toulouse | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Près de 300 nouveaux logements ont été livrés par le Crous de Toulouse Occitanie en cette rentrée 2018.

 

En cette rentrée 2018, le Crous propose près de 300 logements neufs aux étudiants de Toulouse. Pourtant l'offre est encore insuffisante dans la Ville rose.

 

Le Crous Toulouse-Occitanie a, début octobre 2018, fait le point sur les chiffres de la rentrée universitaire sur son territoire (les huit départements de l’ex-région Midi-Pyrénées). Et a notamment fait un focus sur le logement des étudiants dans la ville rose. Le Crous gère 10 337 places dans des logements étudiants et 92% d’entre elles sont situées à Toulouse.

 

LIRE AUSSI : Logement, transports… Le coût de la vie est en hausse pour les étudiants de Toulouse selon l’Unef

 

Un bâtiment tout neuf à Chapou

En 2018, 275 nouveaux logements ont vu le jour à Toulouse. À elle seule, la résidence Capitaine Philippe, sise sur le site Chapou, propose 150 nouveaux hébergements pour les étudiants : 132 chambres de 16m2; 12 chambres pour les personnes à mobilité réduite et six studios de 25m2. Une salle d’étude, un espace de convivialité et une laverie complète l’ensemble.

Avec ce nouveau bâtiment classé basse consommation, la cité Chapou propose désormais 1160 chambres à quelques pas du centre-ville de Toulouse.

 

LIRE AUSSI : Les trois chiffres clés à retenir sur le logement étudiant à Toulouse

 

Daniel-Faucher en cours de rénovation

L un des bâtiments de la résidence universitaire Daniel-Faucher, sur l’île du Ramier, a été entièrement rénové. (©Crous de Toulouse-Occitanie)

Une nouvelle résidence a aussi ouvert ses portes sur le campus de l’Ecole nationale supérieure agronomique de Toulouse, avec 124 logements dont 4 studios. D’autre part, l’un des bâtiments de la résidence universitaire Daniel-Faucher, sur l’île du Ramier, a été entièrement rénové et livré à la rentrée : 120 logements sont concernés par cette opération.

Des travaux se poursuivront pendant l’année sur deux autres bâtiments et l’ensemble des logements de cette résidence seront , réhabilités pour la rentrée 2019. 

Il manque 2000 logements à Toulouse

Reste que malgré l’arrivée de ce nouveaux logements, l’offre n’est pas encore totalement suffisante dans la Ville rose. Du côté du Crous on détaille :

 

On estime qu’il manque 2 000 places à Toulouse. Et de ce fait, la très grande majorité des étudiants hébergés dans nos résidences sont boursiers. 

À l’heure actuelle, seul un nouveau projet de résidence universitaire labellisée Crous est à l’étude à Toulouse, près de l’Arsenal. « On en est aux balbutiements, c’est un projet à horizon 2020 », explique t’on du côté du Crous. 

Un nouveau restaurant scolaire

Il y a du neuf aussi côté restauration. Un restaurant universitaire flambant neuf va ainsi ouvrir ses portes le mardi 23 octobre 2018, du côté de l’université Paul-Sabatier, en lieu et place du Rangueil 2. D’une capacité de 588 places assises, dont une partie en extérieur, le Canal cumule les fonctions : self, espace libre-service et café.

Sur le même site le restaurant le Théorème a été rénové et, autre innovation de cette rentrée 2018, le Moovy market est désormais accessible à côté du site de l’espé, toujours à Paul-Sabatier. Du côté du Crous, on précise :

Ce concept d’épicerie froide embarquée permet d’offrir un service supplémentaire de restauration aux étudiants sur des points du campus où le Crous ne dispose pas de structure.

 

Lucie Fraisse

 

 

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Logement. Toulouse Village donne les clés de la Ville rose

Logement. Toulouse Village donne les clés de la Ville rose | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Gemma Serra et Marion Claudel Jourdan, fondatrices de Toulouse Village.

 

Toulouse Village est une société de relocation créée en 2014, avec l'ambition de faciliter l'installation et l'intégration des salariés en mobilité professionnelle.

 

Avec 10.000 nouveaux arrivants chaque année à Toulouse, les prestataires de mobilité ont le vent en poupe. Encore faut-il se démarquer sur ce secteur très concurrentiel. Marion Claudel Jourdan et Gemma Serra, les fondatrices de Toulouse Village, entendent séduire les nouveaux venus avec les clés d’un logement mais aussi celle de la ville de Toulouse. L’entreprise va en effet au-delà de la prestation usuelle - accompagnement dans la recherche d’un logement, formalités administratives et d’immigration, inscriptions scolaires ou questions relatives au patrimoine et à la fiscalité - en proposant un suivi longue durée.

Une fois le lien créé avec les familles dans le cadre de la recherche du logement, l’entreprise décline des prestations à la demande qui couvrent tous les besoins d’un nouvel arrivant : scolarisation et garde des enfants, architecture d’intérieur et achat d’ameublement, cours de langue française… « Nous nous différencions aussi des structures existantes par l’envie de donner à nos clients les clés de la ville grâce à nos adresses et bons plans accessibles sur notre site », ajoute Marion Claudel Jourdan.
Les fondatrices de Toulouse Village ne sont pas arrivées là par hasard puisque Marion Claudel Jourdan, toulousaine, est juriste en droit social européen et Gemma Serra, espagnole d’origine, architecte.

Une solution clé en main pour les entreprises

Les interlocuteurs clés de Toulouse Village sont les directions ressources humaines des entreprises qui cotisent au 1% patronal. Elles bénéficient d’une subvention pour financer les frais d’accompagnement à la recherche d’un logement locatif réalisé par un prestataire de mobilité. Toutes les sociétés de plus de dix salariés peuvent cotiser. « Notre tarif est aligné sur l’aide Mobili-Pass, qui se situe autour de 2000 euros. Si un DRH nous confie une mission et qu’elle réussit, l’aide nous est versée directement », explique Marion Claudel Jourdan. La société a réalisé ses premières missions avec succès et croit dur comme fer à son originalité. Elle cible tout nouvel arrivant français et les expatriés espagnols.
Aurélie de Varax

Avec 10.000 nouveaux arrivants chaque année à Toulouse, les prestataires de mobilité ont le vent en poupe. Encore faut-il se démarquer sur ce secteur très concurrentiel. Marion Claudel Jourdan et Gemma Serra, les fondatrices de Toulouse Village, entendent séduire les nouveaux venus avec les clés d’un logement mais aussi celle de la ville de Toulouse. L’entreprise va en effet au-delà de la prestation usuelle - accompagnement dans la recherche d’un logement, formalités administratives et d’immigration, inscriptions scolaires ou questions relatives au patrimoine et à la fiscalité - en proposant un suivi longue durée.

Une fois le lien créé avec les familles dans le cadre de la recherche du logement, l’entreprise décline des prestations à la demande qui couvrent tous les besoins d’un nouvel arrivant : scolarisation et garde des enfants, architecture d’intérieur et achat d’ameublement, cours de langue française… « Nous nous différencions aussi des structures existantes par l’envie de donner à nos clients les clés de la ville grâce à nos adresses et bons plans accessibles sur notre site », ajoute Marion Claudel Jourdan.
Les fondatrices de Toulouse Village ne sont pas arrivées là par hasard puisque Marion Claudel Jourdan, toulousaine, est juriste en droit social européen et Gemma Serra, espagnole d’origine, architecte.

Une solution clé en main pour les entreprises

Les interlocuteurs clés de Toulouse Village sont les directions ressources humaines des entreprises qui cotisent au 1% patronal. Elles bénéficient d’une subvention pour financer les frais d’accompagnement à la recherche d’un logement locatif réalisé par un prestataire de mobilité. Toutes les sociétés de plus de dix salariés peuvent cotiser. « Notre tarif est aligné sur l’aide Mobili-Pass, qui se situe autour de 2000 euros. Si un DRH nous confie une mission et qu’elle réussit, l’aide nous est versée directement », explique Marion Claudel Jourdan. La société a réalisé ses premières missions avec succès et croit dur comme fer à son originalité. Elle cible tout nouvel arrivant français et les expatriés espagnols.
Aurélie de Varax

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A Toulouse, logement pas cher contre projet solidaire

A Toulouse, logement pas cher contre projet solidaire | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Morgane Pagès, chargée de mission à l’AFEV.

Le dispositif Koloc à projets solidaires (Kaps), lancé en 2010 pour une vingtaine d'étudiants, est étendu à la rentrée à 70 jeunes. Ils seront logés à loyer modéré dans un immeuble rénové du Mirail, en échange de leur engagement dans un projet avec les associations du quartier.

Pour aider les étudiants à trouver un logement, la mairie de Toulouse, le Crous et l’association de la Fondation Etudiante pour la Ville (AFEV) recrute actuellement des étudiants pour des colocations à loyer modéré en échange de leur engagement dans un projet solidaire. Baptisé Koloc’ à projets solidaires (Kaps), c’est un projet donnant-donnant puisque l’étudiant s’engage dans un projet touchant l’éducation, la vie culturelle ou la solidarité dans le quartier où est situé le logement. Le dispositif lancé en 2010 auprès d’une vingtaine d’étudiants est aujourd’hui étendu dès la rentrée prochaine à soixante-dix jeunes.

« Il y a quatre ans, le projet était en expérimentation mais le retour tant des étudiants que des associations avec lesquelles ils sont collaboré a été positif que nous étendons le dispositif, souligne Morgane Pagès, chargée de mission à l’AFEV. En 2010, les logements étaient proposés dans les quartiers Saouzelong, Empalot et Bagatelle mais aujourd’hui nous ajoutons 24 appartements neufs du T3 au T6 dans l’aile A de l’immeuble Le Petit Varèse. Le but du kaps, c’est avant tout de créer du lien social, que les étudiants s’investissent dans le quartier, que cela soit auprès des habitants ou des associations ». Les projets peuvent aussi bien toucher l’environnement, que le soutien scolaire ou le théâtre. A Empalot, certains kapseurs ont monté ces dernières années un atelier de bien-être avec les femmes du quartier, en créant un partenariat avec le centre social.

Une expérience enrichissante

Car ce sont bien les étudiants qui choisissent leur projet. Élodie Boivineau, une Vendéenne de 25 ans, a été kapseuse ces deux dernières années. Après une mauvaise expérience dans une colocation, elle a entendu parler du dispositif Kaps. Étudiante dans les métiers des arts, costumier et réalisateur elle a vécu dans un T4 du quartier de Saouzelong, au sud de Toulouse, avec deux autres étudiants, eux aussi engagés dans un projet solidaire. Le tout pour 250 euros par mois, toutes charges comprises. « La première année, nous organisions tous les vendredis des ateliers cirque, par le biais du centre de loisirs du quartier puis nous enchainions sur un atelier lecture et musique dans notre garage accessibles à tous, raconte Élodie. Cette année, nous avons concentré le projet sur une journée avec une randonnée le long du Canal du Midi, suivi d’un repas avec les gens du quartier puis d’un atelier fleur avec une plasticienne. Les créations réalisées ont ensuite été exposées lors du festival « Pas de quartier pour les inégalités », organisé par l’AFEV. »

Cette expérience enrichissante a permis à cette étudiante de se constituer un réseau d’amis et découvrir son quartier. Il avoue cependant qu’il était parfois « difficile d’être pris au sérieux par certaines associations et qu’il n’a pas toujours été facile de nouer des liens avec les habitants du quartier, plutôt résidentiel. Mais je ne regrette pas du tout cette expérience car le projet avec mes colocataires m’ont permis de bien connaître mon quartier, ce que je n’aurais peut-être pas fait en étant isolée, assure-t-elle. En tout cas, l’engagement toutes les semaines dans le projet n’a pas du tout été une contrainte. »
Julie Rimbert

Jacques Le Bris's insight:

Pour postuler au projet Kaps, les candidats doivent être inscrits comme étudiants à Toulouse, avoir entre 18 et 30 ans et être disponible de septembre à juin. Leur bail dans le logement est valable un an et peut-être renouvelable. Des réunions d’information sur le projet Kaps sont programmées au centre régional d’information jeunesse de Toulouse le 24 juin et le 8 juillet.

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A Toulouse, le marché de la maison individuelle se réorganise face à la rareté des terrains

A Toulouse, le marché de la maison individuelle se réorganise face à la rareté des terrains | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Les treize entreprises adhérentes de l’union nationale des aménageurs de Midi-Pyrénées (Unam) ont enregistré un chiffre d’affaires de 100 millions d’euros en 2017.

 

Le marché s'est maintenu en 2017 pour les aménageurs lotisseurs de Midi-Pyrénées avec un chiffre d'affaires autour de 100 millions d'euros et un millier de terrains vendus. Mais pour contrer la rareté des fonciers, la profession mise désormais sur de grandes opérations d'aménagement mixtes, avec promoteurs et bailleurs sociaux.

Exit les aménageurs lotisseurs, désormais, les treize entreprises de l’ex-région Midi-Pyrénées spécialisées dans l’aménagement de lotissements et la construction de maisons en bande, sont regroupées sous la bannière de l’Union nationale des aménageurs (Unam) et se revendiquent aménageurs. « Notre métier est en train de changer », a justifié François Rieussec, le président de l’Unam Midi-Pyrénées lors de la présentation des chiffres de l’Observer de l’aménagement 2017. En cause notamment : une rareté des fonciers qui transforme l’activité. En 2017, les aménageurs ont vendu 1022 lots dans l’agglomération toulousaine, dont 200 destinés à des logements sociaux, mais n’ont obtenu que 800 permis d’aménager sur des terrains individuels (24 % de moins par rapport à 2016).

Ils ont enregistré un chiffre d’affaires stable autour de 100 millions d’euros. C’est bien peu au regard des 8000 logements collectifs neufs vendus par les promoteurs la même année. « Le stock de fonciers est en forte baisse, analyse le professionnel en pointant un stock de 1500 lots en 2014, qui a bien fondu depuis… Aujourd’hui le marché est plus compliqué, en partie à cause des délais administratifs de plus en plus longs. Il faut compter deux ans entre l’étude et l’autorisation de construire pour transformer par exemple un terrain agricole en terrain à bâtir », analyse-t-il.

80 % des maisons au-delà de la 2e couronne

Autre explication à cette évolution : un effet de la loi Scellier qui a segmenté le marché par la création de zones. Ainsi Toulouse et ses deux premières couronnes sont cartographiées en B1, zone tendue qui favorise la construction de collectifs. « Dans cette zone nous ne comptons qu’un tiers de notre offre, soit 330 terrains et 5% seulement du marché des logements neufs de l’agglomération. Pour nous, 80% du marché se trouve au delà de la deuxième couronne et dans tout le département », décrit François Rieussec.

Pour les ménages, les prix restent stables (le prix moyen des ventes était de 96.650 euros en 2017 contre 97.800 euros en 2016) et les tailles des parcelles se maintiennent en moyenne à 630 m². « Nous y veillons, surtout depuis la baisse du plafond du prêt à taux zéro qui a conduit de nombreux ménages à reporter ou annuler leur projet de construction. Au plan national cela s’est traduit par une baisse des ventes de 15% dans le marché de l’accession », estime François Rieussec.

Ainsi le budget moyen constaté est de 227.000 euros pour un terrain et une maison T4 de 110 m2 avec des écarts constatés entre 250.000 et 210.000 euros entre la deuxième et la quatrième couronne. Une chose est sûre, les Toulousains ont renoncé au grand éloignement, et le marché de la cinquième couronne est aujourd’hui inexistant. Face à ces nouvelles tendances, la profession mise désormais sur de grandes opérations d’aménagement mixtes. Comme à l’Isle Jourdain avec la Zac Terra Campana menée conjointement par Arp Foncier, Nexity et le groupe des Chalets. Ce nouveau quartier comptera à terme 380 logements, dont 250 individuels, et 80 logements sociaux.

 

Béatrice Girard

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Appartements et maisons en location à Toulouse

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Bonjour,
Vous recherchez un logement de type T1, T2, T3 ou T4 à Toulouse, voire une maison c'est bien ici que vous trouverez rapidement votre bonheur.
Les étudiants et jeunes travailleurs sont généralement friands des T1.
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