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1er Tour Election présidentielle 2022 dans la Ville Rose

1er Tour Election présidentielle 2022 dans la Ville Rose | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Retrouvez toutes les informations concernant l'élection présidentielle de 2022. Les candidats et les résultats

Jacques Le Bris's insight:

NDC :

Au vu du résultat Jean-Luc Moudenc se met sous la protection de Macron !

"je voterai pour Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle" écrit-il.

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Elections départementales 2021 Haute Garonne

Elections départementales 2021 Haute Garonne | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it
retrouvez toutes les informations concernant les élections départementales de 2021. Les candidats et les résultats

 

Résultats par cantons au 1er tour

Auterive (3101)
Bagnères-de-Luchon (3102)
Blagnac (3103)
Castanet-Tolosan (3104)
Castelginest (3105)
Cazères (3106)
Escalquens (3107)
Léguevin (3108)
Muret (3109)
Pechbonnieu (3110)
Plaisance-du-Touch (3111)
Portet-sur-Garonne (3112)
Revel (3113)
Saint-Gaudens (3114)
Toulouse-1 (3115)
Toulouse-2 (3116)
Toulouse-3 (3117)
Toulouse-4 (3118)
Toulouse-5 (3119)
Toulouse-6 (3120)
Toulouse-7 (3121)
Toulouse-8 (3122)
Toulouse-9 (3123)
Toulouse-10 (3124)
Toulouse-11 (3125)
Tournefeuille (3126)
Villemur-sur-Tarn (3127)

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Troisième ligne de métro : le Sicoval veut un début des travaux avant les municipales

Troisième ligne de métro : le Sicoval veut un début des travaux avant les municipales | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Jacques Oberti, président du Sicoval, reste attentif au cheminement du projet amenant la troisième ligne du métro au sud-est de Toulouse.

 

Le président du Sicoval, Jacques Oberti, s’est voulu confiant quant à l’arrivée du métro dans le sud-est de Toulouse, durant sa conférence de rentrée, mardi 11 septembre. Il attend que la desserte soit déclarée d’utilité publique afin de rendre le projet irréversible avant les prochaines élections municipales.

 

L'heure est à l'apaisement du côté du Sicoval en ce qui concerne la mobilité. Lors de la conférence de rentrée de la communauté de communes du sud-est toulousain, mardi 11 septembre, son président, Jacques Oberti, s'est montré confiant sur l'arrivée du métro sur son territoire. "Le Sicoval sera desservi par deux lignes de métro, la troisième ligne jusqu'à la gare de Labège, La Cadène, et l'interconnexion entre les stations de Ramonville et l'INPT, avec la prolongation de la ligne B", a expliqué le président du Sicoval.

Cependant, il tient à ce que la décision de faire venir le métro dans le sud-est de Toulouse soit marquée dans le marbre rapidement.

"Il faut absolument qu'avant les échéances (municipales, ndlr) de mars 2020, nous ayons franchi un certain nombre d'étapes qui rendent ce projet irréversible. Ce sont toutes les étapes de développement du projet jusqu'à la déclaration d'utilité publique, comme des signatures de réserves foncières ou le démarrage de certains travaux de préparation des infrastructures", a précisé le président du Sicoval.

La troisième ligne de métro était l'une des promesses de campagne de Jean-Luc Moudenc lors des municipales de 2014. Depuis, le projet a bien avancé. Lors du comité syndical du 11 juillet dernier, Tisséo a dévoilé le tracé qui sera soumis à une enquête publique courant 2019. Le début des travaux est envisagé en 2019-2020 pour une mise en service en 2024-2025.

Jacques Oberti explique qu'"il y a eu beaucoup de réunions d'échanges au niveau politique et au niveau technique de manière à tenir l'échéance des décisions avant les prochaines municipales et faire en sorte d'inviter le préfet à signer la déclaration d'utilité publique. Toutes les conditions pour servir ces objectifs nous semblent aujourd'hui réunies". En ajoutant tout de même : "dire qu'on est pleinement rassurés serait sans doute une mauvaise vision des choses et risquerait de donner l'impression que la messe est dite".

Jusqu'à sept millions d'euros par an

En début d'année, un rapport de la Commission d'enquête publique préconisait de réaliser les travaux de la troisième ligne de métro en deux temps, jusqu'en 2030. Cette suggestion avait été rejetée par le président du Sicoval qui déclarait : "On ne peut pas valider la conclusion de la commission d'enquête publique. Un tel choix ferait remonter à la surface la hache de guerre".

Lire aussi : Le président du Sicoval exige "sa" troisième ligne de métro en 2024

 

Il faut dire que la communauté de communes investira lourdement dans le budget annuel du réseau de transport en commun Tisséo pour avoir le métro sur son territoire : sept millions d'euros à l'horizon 2025-2030 contre 1,5 million aujourd'hui. "Le Sicoval construit une réserve pour pouvoir prendre part au projet", selon Jacques Oberti. La troisième ligne de métro nécessite au total 1,3 milliard d'euros d'investissements à l'ensemble des acteurs du dossier.

Pour voir ce projet se concrétiser, le président du Sicoval avait notamment rencontré le président de Toulouse Métropole Jean-Luc Moudenc et le président de Tisséo-Collectivités Jean-Michel Lattes. Ils se sont mis d'accord sur les infrastructures de transports en 2016 et sur le montage financier en 2017. Des accords qui contribuent également à rendre irréversible le projet amenant le métro sur le territoire du Sicoval.

 

Bryan Faham           

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141 candidats en piste en Haute-Garonne

141 candidats en piste en Haute-Garonne | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Trois semaines nous séparent du premier tour des élections législatives. En Haute-Garonne, ils sont 141 candidats sur la ligne de départ. Pour une campagne éclair.

Les portes sont closes. C'est hier soir, à 18 heures pétantes que les services de la préfecture ont transmis au ministère de l'Intérieur le chiffre définitif des candidats aux élections législatives en Haute-Garonne, sous réserve d'une dernière validation. Nous vous en présentons 123 précisément auxquels se sont ajoutés dix-huit «indépendants» de dernière minute. Au final, ils sont 141 impétrants à se présenter à vos suffrages. Un chiffre légèrement supérieur, à quelques unités près, aux élections de 2012 et même à celles de 2007, après la victoire de Nicolas Sarkozy, quand le département ne comptait pourtant que huit circonscriptions. Pas d'inflation de candidatures, donc, malgré l'émergence de La République en marche. Au petit jeu des extrêmes, c'est l'Union populaire républicaine (UPR) qui se distingue, puisque le parti de François Asselineau présentera à la fois la benjamine de cette promotion, Amélia François, 24 ans, et l'aîné ou le doyen, c'est selon, qui affiche 75 printemps. Il s'agit de Roger Stobel, qui coiffe de peu Maïthé Carsalade, 74 ans, une ancienne baudisienne engagée au Front national. Un spectre de génération aussi large que celui des sensibilités politiques en présence. Voilà longtemps, en tout cas, qu'un scrutin législatif en Haute-Garonne ne s'était annoncé aussi indécis. Avec la déliquescence annoncée et confirmée des partis de gouvernement à la présidentielle, l'hégémonie quasi sans partage du Parti socialiste dans le département risque d'en prendre un coup au soir du second tour, le 18 juin. Au profit de qui ? Là est toute la question. Les nouveaux venus de La République en marche espèrent profiter du réflexe légitimiste des électeurs, qui veut que l'on donne une majorité au nouveau président fraîchement élu, en l'occurrence Emmanuel Macron, arrivé en tête dans le département au premier tour de la présidentielle (26,44 %), avant d'écraser Marine Le Pen (72,3 % contre 27,6 %). Forte de ses plus de 23 % des voix, la France insoumise de Jean-Luc Mélenchon compte bien, aussi, tirer son épingle du jeu et grignoter le leadership du Parti socialiste, mais le Front national en tête dans la 7e circonscription du Muretain et la 8e, celle du Comminges peut lui aussi rêver d'arracher un siège.

Et les sortants là-dedans ?

Pas sûrs de bénéficier de la fameuse prime… Même les plus en vue, comme Catherine Lemorton, la présidente de la commission des affaires sociales à l'Assemblée nationale, Christophe Borgel, le monsieur élections du PS ou encore Kader Arif, ancien ministre, ne sont assurés de rien.

Quand la seule députée des républicains, Laurence Arribagé, adjointe au maire de Toulouse veut croire, comme les autres, au bonus de son ancrage local. «La bascule pour le second tour va se jouer à rien», prédit un observateur, au vu de l'éclatement des forces en présence. Avec à la clef de possibles triangulaires voire quadrangulaires… si la participation est suffisante. Les mouvements qui ont renversé la table à la présidentielle seront-ils aussi mobilisés ? C'est sans doute l'abstention qui sera une fois de plus l'arbitre.

Faites vos jeux !

Le chiffre : 31 152

euros >Amendes. Le cumul des infractions à l'affichage sauvage, facturées par la mairie de Toulouse lors de ces élections, s'élève, pour l'heure, à 31 152 €. Avec en champion toute catégorie, le Nouveau parti anticapitaliste de Philippe Poutou : 16 308 € de PV.

élections, mode d'emploi

Les élections législatives se dérouleront les 11 et 18 juin 2017. Les bureaux de vote ouvrent à 8 heures et ferment à 18 heures, sauf à Toulouse et dans 14 communes de plus de 10 000 habitants (Balma, Blagnac, Castanet-Tolosan, Colomiers, Cugnaux, Fonsorbes, Muret, Plaisance-du-Touch, Ramonville-Saint-Agne, Saint-Gaudens, Saint-Jean, Saint-Orens-de-Gameville, Tournefeuille, l'Union) où l'on pourra voter jusqu'à 20 heures.

 

911 174 électeurs sont inscrits sur les listes électorales de Haute-Garonne, 66 139 de plus qu'en 2012, parmi lesquels 268 826 Toulousains (19 255 de plus qu'en 2012). Ils sont invités à se rendre aux urnes dans les 1 310 bureaux de vote du département (263 à Toulouse).

Echos de campagne

Capitole>

Silence dans les rangs. Ce devait être le moment de l'explication : jeudi, à 18 heures, au Capitole, Jean-Luc Moudenc réunissait ses élus pour un bureau municipal. Le maire a longuement expliqué pourquoi il avait signé, en début de semaine, l'appel à saisir «la main tendue» de Macron, une position fortement contestée par certains élus, ceux qui se lancent dans la bataille des législatives notamment et qui voient là un mauvais coup porté aux candidats LR (notre édition de mercredi).

Les contestataires ne sont finalement pas sortis des rangs : Laurence Arribagé est restée silencieuse, comme Bertrand Serp, et François Chollet a préféré sa circonscription à la réunion.

 

suppléante>

La maire de La Magdelaine. Maire sans étiquette du village de La Magdelaine-sur-Tarn, près de Villemur, Isabelle Gayraud, 40 ans, aide-soignante, est la suppléante du candidat La République en marche de la 5e circonscription, Jean-François Portarrieu. Originaire d'Aucamville, l'actuel directeur de cabinet du président du Grand Narbonne, qui avait été le directeur adjoint du cabinet de Pierre Cohen, maire de Toulouse (sans être encarté au PS), a pris des congés le temps de la campagne et démissionnera en cas d'élection. Hier soir, il a rencontré les comités locaux de «marcheurs».

 

Soutien>

Carole Delga à Balma. La présidente de la région Occitanie, Carole Delga, vient soutenir la candidate PS de la troisième circonscription, Isabelle Hardy, en participant ce lundi 22 mai, à 19 heures, à une réunion publique à Balma, salle polyvalente, avenue des Arènes.

Pas moins de quatorze candidats devraient s'affronter dans la 3e détenue par Laurence Arribagé (LR) et où concourt, pour La République en marche, la maire de Flourens, Corinne Vignon. Trois femmes par ailleurs toutes élues de Toulouse Métropole.

 

Gilles-R. Souillés
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Mode d'emploi pour pouvoir voter 

Mode d'emploi pour pouvoir voter  | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Où allez-vous voter ?

La commune de Toulouse est divisée, depuis le 1er mars 2015, en 11 cantons, au lieu des 15 existants précédemment.

Les bureaux de la ville ont été re-organisés en fonction des périmètres de ces nouveaux cantons et une nouvelle numérotation des bureaux a été mise en place en 2015.

Principales modifications du découpage 2017 :

- Création de 7 bureaux dans les centres de vote suivants (identification de ces bureaux en alphanumérique ex : 69A) : Ricardie, Jules Julien, le Pastel, Paul Bert, Jules Ferry, Ernest Renan, Cuvier
- Transfert du site Ricardie vers Ricardie 3 (adresse : 56 avenue de l’URSS)

Aussi, vous avez du recevoir une nouvelle carte d'électeur à votre domicile en mars 2017. Sur celle-ci figure le N° et l'adresse bureau de vote dont vous dépendez.

Si vous n'avez pas reçu cette nouvelle carte, vous pouvez retrouver votre bureau de vote via

le module de recherche

Si vous avez déménagé dans Toulouse mais n'avez pas signalé votre changement d'adresse à la mairie, vous devez voter dans le bureau de vote rattaché à votre ancienne adresse. Pensez à signaler vos nouvelles coordonnées au bureau de vote lorsque vous irez voter.
 

Le vote par procuration

Si vous ne pouvez pas vous rendre à votre bureau de vote le dimanche 23  avril, vous pouvez établir une procuration. Retrouvez toutes les informations.

Le vote le jour des élections

Dimanche 23 avril, les bureaux de vote sont ouverts de 8h à 20h.
Pour voter, la carte électorale n'est pas obligatoire, vous pouvez vous présenter avec une carte nationale d'identité, le permis de conduire.... d'autres titres sont autorisés. Retrouvez la liste en cliquant ici.

Pour toute question, dimanche 23 avril, une permanence est assurée, de 8h à 20h, par le service des formalités administratives, pour toute information  :
Hôtel de ville - place du Capitole
Cour Henri IV - rez-de-chaussée porte 12
>> Consulter le plan d'accès (format .pdf)
Tél. : 05 61 22 20 00

Pour des problèmes spécifiques, une permanence est assurée par le service des élections et police administrative. Plus d'informations

Taux de participation et résultats

Vous retrouverez sur elections.toulouse.fr les taux de participation pour Toulouse au fil de la journée et les résultats définitifs par bureau de vote toulousain après 20 heures.

Pour en savoir plus sur l'élection présidentielle

Retrouvez de nombreuses informations sur cette élection sur le site du ministère de l'Intérieur.

 

 
Article mis à jour le 18/04/2017
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Haute-Garonne Résultat 2nd Tour Primaire Droite et Centre

Haute-Garonne Résultat 2nd Tour Primaire Droite et Centre | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it
HAUTE-GARONNE
 
Votants
82862
 
Progrès du dépouillement
Nombre de bureaux
158  sur 158
   
 

François Fillon

61.5%

50840

 
 

Alain Juppé

38.5%

31839

 
 

Votes blancs et nuls

183
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Trouvez votre bureau de vote à Toulouse pour la Primaire de la droite et du centre

Trouvez votre bureau de vote à Toulouse pour la Primaire de la droite et du centre | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Primaire de la droite et du centre pour une victoire qui vous rassemble.

 

Par exemple, si vous habitez au N° 1 Place du Capitole 31000 Toulouse

 

Votre bureau de vote est le n°310401

 

SALLE DES FÊTES - 6 RUE DU LIEUTENANT COLONEL PELISSIER - SALLE OSÈTE

31000 TOULOUSE

 

Ouvert de 8h à 19h

1er tour : dimanche 20 novembre 2016

2nd tour : dimanche 27 novembre 2016

 

Le jour du vote, vous devez :

 

- Présenter une pièce d'identité

 

- Verser une participation aux frais d'organisation de 2€

 

- Signer la Charte de l'alternance : « Je partage les valeurs républicaines de la droite et du centre et je m'engage pour l'alternance afin de réussir le redressement de la France »

Jacques Le Bris's insight:
« C’est une élection réservée aux adhérents des Républicains»

La participation au scrutin est ouverte à tous. Il suffit d’être inscrit sur la liste électorale au 31 décembre 2015 (ou d’avoir 18 ans au moment de l’élection présidentielle), de verser 2€ par tour de scrutin et d'adhérer aux valeurs de la droite et du centre. Les adhérents des partis concourant à la primaire seront en première ligne pour organiser localement le scrutin et faire en sorte que chacun soit accueilli dans de bonnes conditions.

 
« Si je vote, mon nom sera inscrit sur un fichier, on saura que je suis de droite !»

Le vote est strictement confidentiel et anonyme et aucun fichier ne sera constitué hors du contrôle de la CNIL. Les listes électorales seront détruites sous le contrôle d’huissiers de justice et aucune trace ne sera conservée des participants à la primaire.

 
« 2€ de participation ? c’est deux fois plus que le PS en 2011 !»

En 2011, le PS avait fixé la participation aux frais d’organisation à « au moins 1€ », les participants pouvant donner davantage dans les bureaux de vote. Nous avons fait un choix différent : il s’agit uniquement de couvrir les frais d’organisation, ce sera donc 2€ par tour, ni plus, ni moins.

 
« L’argent récolté servira à renflouer les caisses du parti»

En aucun cas. D’après nos prévisions, la primaire s’auto-financera à partir de 2 millions de votants par tour. Si ce palier est franchi, l’argent récolté servira à financer la campagne présidentielle du candidat désigné. Les comptes de la primaire seront publiés, certifiés par deux commissaires aux comptes et justifiés à l’euro près.

 
« Des gens de gauche vont aller voter pour fausser le résultat»

Rien ne permet de filtrer les participants en fonction de leurs opinions politiques ! Cependant, les expériences étrangères montrent que ces stratégies restent très marginales et qu'elles s'annulent entre elles : pour 10 personnes qui iront voter pour le candidat Y en pensant que ça aidera le candidat Z, 10 autres personnes iront voter pour le candidat X en pensant que ça aidera le candidat W. Pas de quoi inverser le résultat final !

 
« Une attention particulière sera apportée aux territoires d’outre-mer»

Tout sera fait pour faciliter le vote de nos compatriotes des départements, régions et collectivités d’outre-mer. Le matériel de vote sera envoyé par avion en avance, des dizaines de bureaux de vote seront ouverts en tenant compte des spécificités géographiques de chaque territoire et les horaires d’ouverture tiendront compte des décalages horaires comme pour une élection nationale.

 
« Si je ne suis pas là le jour du vote, je ne pourrai pas faire de procuration»

Pour simplifier le déroulement des opérations électorales, les procurations sont interdites. Chacun vote pour soi. Alors pour être sûr que votre voix compte, notez bien les dates : 20 et 27 novembre 2016 !

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Le groupe de presse de Jean-Michel Baylet va imprimer le journal du Conseil Régional

Le groupe de presse de Jean-Michel Baylet va imprimer le journal du Conseil Régional | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Le groupe de presse de Jean-Michel Baylet a remporté, le 13 septembre dernier, un marché public : la publication du journal du Conseil Régional d’Occitanie. Montant de la prestation : 4 320 000 euros.

 

L’attribution doit être ratifiée par un vote de la Commission Permanente (CP) du Conseil Régional. Mais il s’agit d’une formalité. La Commission Permanente est composée de vice-présidents et de conseillers régionaux parmi lesquels on compte des membres du parti de Jean-Michel Baylet. Parmi eux, la nouvelle présidente du PRG et 1revice-présidente du Conseil Régional, Sylvia Pinel.

Jean-Michel Baylet dans son bureau de La Dépêche en 2014 (Photo : MaxPPP)

Un marché plus important grâce à la fusion de deux régions

Sous le mandat de Martin Malvy, l’entreprise de Jean-Michel Baylet éditait déjà le journal du Conseil Régional de Midi-Pyrénées. Selon nos informations, l’enveloppe représentait 2,8 millions d’euros.

La fusion entre Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées alourdit la facture. Sous la présidence de la socialiste Carole Delga (élue notamment sur la base d’un accord PS-PRG), ce sont plus de 4 millions d’euros qui vont finir dans les caisses de La Dépêche du Midi, désormais présidé par son ex-compagne Evelyne Marchand-Baylet depuis l’entrée du patron du journal au gouvernement. 

C’est une bonne nouvelle pour l’entreprise du ministre des Collectivités Locales de François Hollande. Le groupe de presse de Jean-Michel Baylet a subi des revers commerciaux dans des communes de la Région. La bascule à droite de plusieurs municipalités s’est traduite par la perte de plusieurs marchés publicitaires. La manne de l’organisation d’événements (au travers de la filiale La Dépêche Events) traverse également des turbulences. La perte du Festival Jazz In Marciac a notamment été un coup sévère.

 

Un marché « sans minimum ni maximum »

Dans ce contexte, un marché de 3 ans avec le Conseil Régional est le bienvenu. Jean-Michel Baylet peut même sortir le champagne. Le marché obtenu est un marché dit « sans minimum ni maximum ». Autrement dit, la somme de 4,2 Millions d’euros est ….indicative. Il est parfaitement possible (sans la moindre formalité) de gonfler l’enveloppe. Le groupe La Dépêche du Midi peut percevoir 5, 6 ou 7 millions sans qu’il soit nécessaire de lancer la moindre consultation. Cette technique a été employée dans un marché attribué par le Conseil Régional de Midi-Pyrénées et qui alimente l’actualité judiciaire : l’affaire AWF.

 

Autre bonne nouvelle pour Jean-Michel Baylet. Ce n’était pas gagné. Du moins sur le papier. Un mastodonte de l’imprimerie lorgnait le marché. Il s’agit de l’imprimerie Maury SAS. Le groupe Maury édite : Paris Match, Le Point, L’Express, France Football, Madame Figaro, Le Monde, Marianne, Gala, Libération, Télé Z, 20 Minutes, Courrier International…

 

 

Un autre concurrent était moins cher et plus respectueux de l’environnement

 

Un autre concurrent était également sérieux. Il devance l’offre de La Dépêche du Midisur des points essentiels : le prix et la qualité environnementale. S’agissant du prix,l’offre est 10%… inférieure à celle du groupe La Dépêche du Midi. 10% sur un montant de 4,3 millions d’euros : 430 000 euros d’économies, ce n’est pas rien. Sur le critère environnemental, même chose. Le concurrent de La Dépêche du Midi est le plus compétitif. La commission est claire : « le procédé d’impression (ndlr de La Dépêche du Midi) est moins respectueux par rapport à l’offre » (ndlr du concurrent évincé).

Malgré l’existence d’une offre plus économique et écologique et la candidature d’un poids-lourd de l’imprimerie, c’est le groupe de Jean-Michel Baylet qui a raflé la mise. Une notation a été mise en place par la commission d’appel d’offre. Une notation qui a permis le classement des candidats et la détermination du vainqueur. Le concurrent évincé a étéécarté sur une question de délai de livraison. supérieur… de 3 jours à celui de La Dépêche. 

Le groupe La Dépêche du Midi a obtenu 92,20 points sur 100. Le concurrent classé en seconde position décroche un 91 sur 100. 0,80 point d’écart. Un écart à 4 millions d’euros.

 

Laurent Dubois (@laurentdub)

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Elections régionales 2015 1er Tour à Toulouse pour LRMP

Elections régionales 2015 1er Tour à Toulouse pour LRMP | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it
retrouvez toutes les informations concernant les élections régionales de 2015. Les candidats et les résultats
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Toulouse Élections départementales : un mur des élus "cumulards" exposé à Toulouse

Toulouse Élections départementales : un mur des élus "cumulards" exposé à Toulouse | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Mercredi 11 mars 2015, le mouvement politique Alternative Citoyenne a installé, square de Gaulle, à Toulouse un « mur des cumulards ». Sur celui-ci, ils ont épinglé les élus du Conseil général de Haute-Garonne reconnus pour cumuler les mandats, soit pour différentes institutions, soit dans la durée.

Alain Fillola, Jean-Marc Dumoulin, Emilienne Poumirol, Charles Marziani, Jean-Jacques Mirassou, Philippe Plantade, Georges Méric et Pierre Izard font ainsi partie de la liste.

Cela pose un vrai problème de renouvellement des idées politiques et créé, à la longue, un profond décalage entre les élus et leurs administrés, les politiques “de carrière” étant complètement déconnectés de la vie quotidienne et ne cherchant qu’à asseoir leur cercle d’influence, analyse Sophie Nicklaus, candidate Alternative Citoyenne aux élections départementales sur le secteur Toulouse 1.

Signature de la charte Anticor

En parallèle de ce « mur des cumulards », qui était également accompagné de petits jeux ludiques pour attirer l’attention des passants sur la problématique et les enjeux du cumul, une présentation de la charte éthique Anticor était faite. Une charte que les candidats Alternative Citoyenne ont signée sur place, s’engageant même au-delà.

« En plus de ne pas cumuler, il a été demandé aux candidats Alternative Citoyenne de ne faire qu’un seul mandat, précise Sophie Nicklaus. L’idée est de former en permanence de nouvelles personnes pour assumer les responsabilités d’élu et, surtout, de ne pas devenir irremplaçable. »

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Législatives partielles sur la 3e circonscription de Haute-Garonne, 7 candidats, 3 semaines de campagne

Législatives partielles sur la 3e circonscription de Haute-Garonne, 7 candidats, 3 semaines de campagne | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it


Martine Croquette, Xavier Bigot, Laurent Méric, Laurence Arribagé, Clément Satger, Nicolas Rimaud et Fabrice Pezzuto


Sept candidats briguent le mandat de député de la 3e circonscription de Haute-Garonne pour remplacer Jean-Luc Moudenc, qui a démissionné. Certains d’entre eux sont inconnus du grand public et ils ont seulement trois semaines pour convaincre les électeurs. Au cœur du débat : la politique économique menée par le gouvernement.

Laurence Arribagé, Xavier Bigot, Martine Croquette, Laurent Méric, Fabrice Pezzuto, Nicolas Rimaud et Clément Satger  : les sept candidats pour le mandat de député de la 3e circonscription de Haute-Garonne sont en campagne. Ils ont trois semaines pour convaincre et faire de la pédagogie sur ce scrutin qui tombe le même jour que les élections européennes, le 25 mai. Certains partent avec l’avantage de la notoriété. Laurence Arribagé (UMP), ex-suppléante de Jean-Luc Moudenc, passe ainsi pour favorite. À l’inverse, Nicolas Rimaud (DVD) ou Fabrice Pezzuto (FN) sont inconnus des électeurs.


Le pacte de responsabilité, un enjeu national
Déjà présente lors de législatives de 2012, la communiste Martine Croquette avait alors recueilli 6,42 % des voix. Aujourd’hui, ses motivations "sont encore plus exacerbées par le contexte national". Si elle est élue, cette conseillère municipale de Toulouse combattra le pacte de responsabilité de Manuel Valls. "La France doit retrouver son rang industriel, mais à n’importe quel prix. Quand on voit que des fonds publics sont versés à Sanofi sans contrepartie, je m’y oppose".

La politique menée par le gouvernement est en effet au cœur du débat. Alors que le candidat PS Laurent Méric est le seul à être "absolument en accord avec la politique de Manuel Valls et avec le pacte de responsabilité", Xavier Bigot, le candidat EE-LV, rejoint Martine Croquette dans le camps des déçus : "autant en 2012 il y a eu un accord entre le PS et EE-LV pour présenter un candidat commun sur cette circonscription, autant cette année, nous n’aurions pas été d’accord sur le pacte de responsabilité". L’actuel secrétaire d’EE-LV Toulouse milite pour "l’écologie politique, qui peut apporter des réponses en termes d’emplois".

De son côté, la candidate UMP Laurence Arribagé fait campagne sur le thème de la fiscalité, critiquant la politique "hasardeuse et dangereuse de François Hollande dans ce domaine". Si elle est élue, elle entend être "une députée de terrain et de proximité".

Le discours est plus radical du coté de Clément Satger, 30 ans, candidat du parti de Jacques Cheminade Solidarité et Progrès. Celui qui a recueilli 0,13 % des voix en 2012 défend "la séparation des banques commerciales et banques d’affaires pour que l’on arrête de financer les banques au lieu de financer l’économie" et accuse les socialistes d’ "assassinat de De Gaulle et Jaurès". Il milite également pour sortir la France de l’Union Européenne et de l’Euro. Fabrice Pezzuto (FN) dont c’est la première campagne, est en faveur d’une dissolution de l’Assemblée nationale.

Enfin Nicolas Rimaud, candidat divers droite qui partage les sensibilités de la Manif Pour Tous, veut "remettre la famille au cœur des décisions économiques".


3 semaines pour se faire connaître
La candidate de l’UMP, Laurence Arribagé, part avec un point d’avance : elle est la seule que tout le monde connaît. Et pour cause : numéro deux de la liste de Jean-Luc Moudenc pendant les municipales, elle est adjointe à la mairie de Toulouse, conseillère régionale, et par ailleurs secrétaire départementale de l’UMP 31. Un atout ? Pas pour ses adversaires. Certains, qui accusent un déficit de notoriété s’attaquent à ce qu'ils appellent  un "cumul des mandats". "Elle a beaucoup de responsabilités, il ne faudrait pas qu’elle se fatigue", ironise Xavier Bigot, le candidat d’EE-LV. "Lors des législatives, on n’élit pas une notoriété, on élit quelqu’un qui va siéger au Parlement. Laurence Arribagé mène une carrière très personnelle, et ce n’est pas mon cas", affirme de son coté Laurent Méric. Réponse de l’intéressée : "si je suis élue, je saurai prendre une décision raisonnable. Abandonner mon poste de conseillère régionale semble le plus probable, mais je ne souhaite pas y penser avant d’être élue, je reste prudente". 

Pour Fabrice Pezzuto, le candidat du FN, le manque de notoriété n’est pas un problème. À 38 ans, il se présente pour la première fois à une élection, mais selon lui "c’est la notoriété de Marine Le Pen qui compte". Un appui de son parti dont ne bénéficie pas Nicolas Rimaud, candidat sans étiquette, divers droite, et proche des idées de la Manif pour Tous, qui veut proposer "une alternative à la droite actuelle". Clément Satger, lui, compte sur les militants de Solidarité et Progrès "de plus en plus nombreux", une cinquantaine en Haute-Garonne.

Enfin Martine Croquette a quant à elle les pieds sur terre : "bien sûr, je souhaite être élue. Je pense faire un score supérieur à celui de 2012. Mais je suis lucide", souffle la communiste, dont le CV politique est pourtant plus fourni que celui de certains de ses adversaires.

Le calendrier

Élément perturbateur de ces élections : le calendrier. Non seulement la campagne est courte (trois semaines), mais le scrutin tombe en même temps que celui des européennes. Et pour le Front National, c'est une aubaine : "la poussée du FN est incontestable. Je vois mal un électeur mettre un bulletin FN dans l'urne des européennes et un bulletin PS dans l'urne des législatives !", s’exclame le directeur de campagne de Fabrice Pezzuto, Michel Guiniot. "Il faut faire un travail de pédagogie pour expliquer les enjeux du scrutin, estime Laurence Arribagé, mais cela a l’avantage de mobiliser plus d’électeurs". "Le problème, c’est qu'il ne faudrait pas que les lecteurs fassent une overdose de politique", craint quant à elle Martine Croquette. En tout cas, certains candidats ont été pris de cours : "ma candidature est tardive, mes documents de campagne sont encore en cours de réalisation", reconnaît Nicolas Rimaud, un peu dépassé.

Sophie Arutunian

© photos DR / Rémi Benoit


En savoir plus :

Les résultats des élections législatives de 2012
Mme Sandra TORREMOCHA (EXG)    0,25 %    
M. Thomas COUDERETTE (EXG)    0,42 %    
Mme Monique CREVELLE (DVD)    0,05 %    
M. Clément SATGER (AUT)    0,13 %    
Mme Carole FABRE (AUT)    0,73 %    
M. Alain FILLOLA (DVG)    21,36 %    
M. Jean-Luc MOUDENC (UMP)    35,14 %    
Mme Sandrine CABIOCH (FN)    7,81 %    
M. François SIMON (VEC)    22,24 %    
Mme Laurence MASSAT GUIRAUD-CHAUMEIL (PRV)    3,23 %    
M. Nicolas CANZIAN (ECO)    1,19 %    
Mme Marie-Claire DANEN (DVD)    1,03 %    
Mme Martine CROQUETTE (FG)    6,42 %

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Le sondage exclusif sur les municipales à Toulouse fait réagir

Le sondage exclusif sur les municipales à Toulouse fait réagir | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Gerard Onesta, Pierre Cohen, René Bouscatel, Christine de Veyrac et Jean-Luc Moudenc

 

A un an des municipales, Objectif News a sondé les intentions de vote des Toulousains. Selon le sondage Harris Interactive, Pierre Cohen arriverait largement en tête au second tour devant Jean-Luc Moudenc. Les résultats de l’enquête sont aussi riches d'enseignements concernant le 1er tour. Les réactions ont été nombreuses tout au long de la journée.

 

Les réactions sont nombreuses après la parution ce matin par Objectif News du premier sondage sur les municipales 2014. Un sondage réalisé par Harris Interactive entre le 31 janvier et le 4 février sur un échantillon de 1003 personnes représentatives des habitants de Toulouse.
Ce sondage mesure la popularité de 9 candidats potentiels ainsi que les intentions de vote au premier et second tour.


Résultat, au second tour, Pierre Cohen arriverait largement en tête face à Jean Luc Moudenc avec 57% des voix.
Pour le premier tour, le sondage a testé deux hypothèses : une liste commune UMP/UDI et deux listes séparées. Les enseignements sont nombreux, tant à droite qu’à gauche. On note un écart de 29 points dans les intentions de vote entre Jean-Luc Moudenc et Christine de Veyrac.

 

Tous les résultats du sondage sont publiés dans le nouveau numéro d’Objectif News actuellement en kiosque !

 

Les réactions

 

Jean-Luc Moudenc, UMP : "L’émiettement de l’opposition ne créé pas de dynamique"
"Ce sondage confirme l’ancrage de Toulouse à gauche même si nous n’avions pas besoin d’un sondage pour le savoir. Mais surtout il recommande à la droite de s’unir dès le premier tour. L’émiettement de l’opposition ne créé pas de dynamique.

(...)

 

Marie Déqué, Toulouse Metropole d’Europe : "Le poids politique de René Bouscatel sans candidature déclarée est réel"
"Très sincèrement, ce sondage est un électrochoc énorme, qui était nécessaire. Les rapports de force ne sont peut-être pas tout à fait à ce niveau-là mais c’est très instructif.
Notre groupe dit depuis longtemps qu’il faut un rassemblement au centre et à droite.

(...)

 

Jean-Christophe Sellin, Front de Gauche: "La balle est dans le camp d’EELV"
"Globalement, la gauche est majoritaire et c’est cela qui compte, même si les rapports de force au sein de la gauche peuvent bouger. Je suis le moins connu de tous les candidats potentiels cités et je suis crédité de  6%, c’est un bon potentiel. Si l’on additionne les scores d’EELV et du Front de Gauche on arrive à presque 15%, il y a une belle dynamique.

(...)

 

Gerard Onesta, EELV : "Nous sommes dans la position de faiseur de majorité"
"Selon ce sondage nous réalisons substantiellement plus qu’aux dernières législatives et présidentielles (score EELV à Toulouse : 4,3 % pour Eva Joly NDLR). Avec 8 % d’intentions de vote, nous ne sommes jamais parti d’aussi haut. Ce sondage est très positif, c’est une bonne entrée en matière.

(...)

 

Jean Iglesis, UDI 31 : "La candidature de Veyrac va monter en puissance. Elle est nécessaire, légitime"
"Tout d’abord, ce sondage a été réalisé avant le 4 février. Christine de Veyrac n’était pas encore officiellement candidate, ce qui explique son niveau de notoriété et l’éparpillement des voix. Ensuite, je suis très surpris par l’écart au second tour entre Pierre Cohen et Jean-Luc Moudenc, on constate une forte érosion des voix en faveur de Jean-Luc Moudenc par rapport à 2008 où il a perdu de justesse la Mairie. C’est surprenant et inquiétant.

(...)

 

Pierre Cohen, PS: n’a pas souhaité s’exprimer sur les résultats de ce sondage, affirmant qu’ "il se concentre sur son action".

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Nuit élections US à Toulouse : «Si Romney gagne, je ne retourne pas aux États-Unis»

Nuit élections US à Toulouse : «Si Romney gagne, je ne retourne pas aux États-Unis» | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Tous les quatre ans l'École Supérieure de Commerce de Toulouse organise une «soirée élections américaines». 

Parmi les participants, des expatriés ont voulu vivre jusque très tard dans la nuit ce moment. Nous avons voulu savoir quel regard ils portaient sur leur pays et cette campagne qu’ils ont vécue depuis la France.

L’ambiance US était au rendez-vous dans les couloirs étroits de l’école où l’anglais avait supplanté la langue de Molière. Difficile alors de distinguer les jeunes de l’établissement des natifs américains. Ces derniers étaient en fait peu nombreux à avoir fait le déplacement. Paroles d’expatriés américains à Toulouse qui ont vécu la campagne présidentielle de leur pays depuis la France.

(...)

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Elections régionales Occitanie 2021

Elections régionales Occitanie 2021 | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it
retrouvez toutes les informations concernant les élections régionales de 2021. Les candidats et les résultats

 

Résultats par section électorale

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Haute-Garonne 

 

Gers  Hérault  Lot  Lozère  Hautes-Pyrénées  Pyrénées-Orientales  Tarn  Tarn-et-Garonne 

 

 

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Municipales 2020 : quel maire veulent les Toulousains ?

Municipales 2020 : quel maire veulent les Toulousains ? | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

La Tribune dévoile le 17 mai un sondage exclusif réalisé par l'institut BVA portant sur les prochaines élections municipales à Toulouse. Le maire sortant, Jean-Luc Moudenc est en pole position. Néanmoins, rassemblées, les forces de gauche sont majoritaires. Analyse et réactions.

Quel est le climat politique à Toulouse un an avant les élections municipales de mars 2020 ? Qui a le plus de chances de l'emporter, du maire sortant, Jean- Luc Moudenc, ou des autres forces politiques ? La Tribune publie un sondage exclusif de l'institut BVA qui fait l'état des lieux des forces en présence. Et même s'il est encore tôt, en raison de l'imprévisibilité de toute élection, il donne des enseignements précieux face à la recomposition du paysage politique tant local que national.

Si l'élection avait lieu aujourd'hui, Jean-Luc Moudenc (LR) est bien placé pour espérer être réélu. Il est la personnalité dont la candidature est la plus attendue dans la population toulousaine (52 %), devant l'ancien maire Pierre Cohen (33 %) et Carole Delga (25 %), la présidente PS de la région Occitanie, qui a priori ne sera pourtant pas candidate à la mairie de Toulouse. Selon l'institut BVA, 64 % des sondés se disent "satisfaits de l'action menée par Jean-Luc Moudenc et l'équipe municipale de la Ville de Toulouse". Ce taux est même bien plus élevé auprès des sympathisants de La République en Marche (84 % des sondés), tout comme chez Les Républicains (91 %), le parti auquel appartient le maire sortant. Un sentiment d'adhésion de la part des sympathisants de ces deux partis que le sondage met également en avant dans le souhait de le voir réélu lors du prochain scrutin municipal en mars 2020. Si 50 % des 671 sondés souhaitent que Jean-Luc Moudenc "soit toujours le maire de Toulouse à l'issue des prochaines élections", ils sont respectivement 71 % et 93 % du côté de LREM et LR à désirer voir le maire de Toulouse briguer un second mandat consécutif.

 

Sondage exclusif BVA pour La Tribune.

 

 

"Je ne suis pas étonné par ce résultat. Dans mon équipe municipale, on retrouve des figures locales de La République en Marche et du MoDem, présentes à mes côtés depuis 2013, ce qui peut expliquer en partie cette statistique. Alors, quand je rencontre des Toulousains proches de LREM lors de mes divers déplacements, je remarque qu'ils ont compris certaines choses que la direction locale du parti de la majorité n'a pas encore comprises", note Jean-Luc Moudenc, interrogé par La Tribune.

Le parti fondé par le président de la République, Emmanuel Macron, était prêt à le sou- tenir en mars 2020 (et donc à ne pas présenter de liste LREM contre lui à Toulouse), en échange d'un soutien appuyé de l'édile toulousain en faveur de la liste "Renaissance" aux élections européennes, portée par La République en Marche. Signe, sans doute, de l'affaiblissement du parti présidentiel suite à la crise des "gilets jaunes", qui a été particulièrement intense à Toulouse, le maire sortant a dénoncé publiquement "un chantage" et fait savoir qu'il soutiendrait finalement la liste Les Républicains, avec comme tête de liste François-Xavier Bellamy, au scrutin du 26 mai.

LREM prête à entrer en lice

Une décision dont a pris acte la direction locale de La République en Marche, qui s'apprête donc à se lancer dans la bataille municipale à Toulouse.

"La perception de l'action du maire actuel est dans la norme de ce que nous constatons dans l'ensemble des zones métropolitaines de France, voire il est même en recul par rapport à certains comme Christian Estrosi à Nice ou Alain Juppé à Bordeaux en son temps. Néanmoins, cette majorité des opinions positives dans l'action de Jean-Luc Moudenc ne sont pas les remontées que nous avons suite à notre état des lieux à Toulouse auprès des habitants, même si tout son bilan n'est pas à jeter. Ainsi, nous avons défini treize grands sujets qui serviront de base pour élaborer un projet avec des partenaires et trouver l'équipe pour le porter. Nous allons accélérer au lendemain des élections européennes", promet Pierre Castéras, le référent de La République en Marche en Haute-Garonne qui vient de lancer avec la branche locale du MoDem le think tank "Toulouse & Moi" pour porter ce projet.

Si ce scénario devient réel dans les faits, le sondage exclusif réalisé par l'Institut BVA pour La Tribune crédite de 8 % des intentions de vote au premier tour une liste LREM menée par le député Mickaël Nogal. Dans ce cas, la liste menée par la majorité sortante et Jean-Luc Moudenc obtiendrait 36 % des voix au soir du premier tour, en mars 2020. Mais ce chiffre grimperait à 40 % sans liste LREM, et dans les deux hypothèses, le premier poursuivant de Jean-Luc Moudenc serait la liste d'Europe Écologie-Les Verts conduite par Antoine Maurice, avec 16 % des intentions de vote, parti qui s'est associé au collectif Archipel Citoyen pour ce prochain scrutin municipal.

 

"Ce sondage montre qu'une alternative à Jean-Luc Moudenc est possible à Toulouse, avec l'écologie au cœur de celle-ci, mais je sais aussi qu'il faudra du collectif. Le sondage ne nous donne aucun droit, mais avant tout des devoirs. Nous devons réunir autour d'un projet en rassemblant des énergies positives et proposer un débouché politique possible afin de répondre à cette attente de changement des Toulousains", estime Antoine Maurice, le président de Toulouse Vert Demain, le groupe des élus écologistes au conseil municipal et nouveau porte-parole de la collaboration entre son parti et l'association citoyenne. "Je pense que Nadia Pellefigue porte, avec son mouvement Une Nouvelle Énergie [UNE, lancé par la vice-présidente PS de la Région Occitanie pour conquérir la mairie de Toulouse, ndlr], des valeurs assez proches des nôtres, donc je discute avec elle, mais je discute avec tout le monde en réalité", ajoute celui qui est aussi conseiller métropolitain.

Pour la gauche toulousaine, tout l'enjeu sera là : se rassembler pour espérer gagner. Et ça, tous les protagonistes à gauche l'ont bien compris. "Toulouse peut changer de majorité si l'alternative proposée est ambitieuse et crédible. Une dynamique qui fédère les énergies citoyennes, et les formations de gauche et progressistes, est gagnante à Toulouse avec 47 % au premier tour contre 40 % pour le maire sortant [score le plus favorable pour Jean-Luc Moudenc avec le soutien de LREM] selon les chiffres de votre sondage", fait remarquer Nadia Pellefigue.

Un besoin d'union à gauche

Dans le cas où une liste de la majorité s'invite au scrutin, les forces de gauche (avec La France Insoumise) sont créditées à 45 %, d'après l'institut BVA. Pour composer ce bloc, une liste d'extrême gauche obtiendrait 2 % des voix, La France Insoumise [premier parti à Toulouse lors de la présidentielle de 2017] 10 %, le Parti Socialiste, 12 %, la liste Divers gauche, conduite par Nadia Pellefigue, 5 %, sans oublier les 16 % d'Europe Écologie-Les Verts et Archipel Citoyen.

"Le sondage donne une photographie de la gauche toulousaine à l'image de sa situation au niveau national, c'est-à-dire une gauche fragmentée. Si elle est unie, elle maximise ses chances de victoire. Je ferai donc tout mon possible pour qu'il y ait un rassemblement des socialistes et de la gauche à Toulouse aux municipales. Par ailleurs, je crois que Nadia Pellefigue, qui est toujours membre du PS, fait une erreur de penser que les partis politiques sont dépassés, la preuve en est avec ce sondage, mais ces partis doivent néanmoins s'ouvrir aux autres", décrypte Sébastien Vincini, le premier secrétaire du PS en Haute-Garonne.

 

 

Pour obtenir l'investiture socialiste, deux candidats sont en lice : Romain Cujives et le sénateur Claude Raynal, mais le PS pourrait soutenir la fondatrice du mouvement UNE. "Nous désignerons notre chef de file avant l'été", précise le membre du bureau national du parti. Néanmoins, les discussions ont déjà débuté en coulisses pour travailler à une alliance et un projet commun. Enfin, la liste Rassemblement National, menée par Quentin Lamotte, est créditée de 8 % des voix au premier tour, comme en 2014.

"Notre liste était alors estimée à 4 % et elle a fait le double. Avec la même règle pour 2020, on réaliserait un score honorable et nous aurions enfin des élus au Capitole", se réjouit Julien Leonardelli, le délégué départemental du RN en Haute-Garonne.

Ce scrutin s'annonce donc plus que jamais rempli d'incertitudes à tous les niveaux.

 

 

Lire aussi : Municipales 2020 : la troisième ligne de métro, clé du scrutin à Toulouse ?

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Découvrez les 10 nouveaux députés de la Haute-Garonne

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Pierre Cabaré élu Député de la 1ère circonscription de la Haute-Garonne

 

Le second tourd es élections législatives a livré son verdict : La République En Marche remporte une large majorité à l'Assemblée Nationale. Une tendance qui se retrouve en Haute-Garonne puisque 8 députés sur 10 sont issus de ce parti

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Election présidentielle 2017 1er Tour Toulouse

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Élisabeth Toutut-Picard, la candidate «En Marche !» qui vient de… Toulouse

Élisabeth Toutut-Picard, la candidate «En Marche !» qui vient de… Toulouse | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Élisabeth Toutut-Picard, la candidate «En Marche !» qui vient de… Toulouse

 

Élisabeth Toutut-Picard fait partie, depuis jeudi soir dernier et la déclaration d'Emmanuel Macron sur le plateau de France 2, des premières investitures officielles du mouvement «En Marche !» en vue des prochaines élections législatives du mois de juin. Elle sera candidate sur la 7e circonscription de Haute-Garonne, celle de Muret.

 

«Je remercie Emmanuel Macron et les membres de la commission d'investiture pour la chance qui m'est offerte de représenter les valeurs et le projet de renouvellement portés par En Marche !», a rapidement déclaré Élisabeth Toutut-Picard, 62 ans, une habitante de… Toulouse. La Ville rose où la candidate travaille également en tant que directrice adjointe du centre hospitalier et où, jusqu'à présent, elle occupe le poste de… 8e adjoint au maire Les Républicains de Toulouse, Jean-Luc Moudenc. Mme Toutut-Picard a la charge de la coordination de la politique de développement durable.

«Je vais investir toute mon énergie dans cette campagne afin de convaincre les électeurs de la 7e circonscription», souligne-t-elle.

 

X. H.
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Résultats Haute-Garonne 1er Tour de la Primaire ouverte de la droite et du centre

Résultats Haute-Garonne 1er Tour de la Primaire ouverte de la droite et du centre | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it
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Cafés LaPrimaire

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Le 1er tour de vote clôturera le 6 novembre prochain et vos votes révélerons les 5 candidat(e)s finalistes de LaPrimaire.org.

Le mois de novembre sera donc crucial pour finaliser les équipes et les programmes. Le programme, s'il sera porté par un homme ou une femme, sera riche des expériences de tous les citoyens qui apporteront leur propre expérience, leurs idées, leur vision...

Les propositions des candidat(e)s ont besoin d'être confrontées à la vie réelle pour se consolider, se préciser. C'est ici tout l'enjeu d'une candidature citoyenne et sa plus-value par rapport à une candidature partisane.

Aidons donc nos candidat(e)s ! Donnons leur dès maintenant notre énergie et notre savoir-faire citoyen pour faire de LaPrimaire.org LA vraie alternative aux partis politiques traditionnels.

Ce Café LaPrimaire spécial "finalistes" sera l'occasion pour vous de rencontrer et d'échanger avec eux sous un format convivial et participatif.

N'hésitez pas à venir et participer, nous espérons vous voir nombreux.

Ensemble, changeons la donne et faisons émerger une candidature citoyenne forte et crédible pour l’élection présidentielle de 2017 !

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Elections régionales 2015 2nd Tour à Toulouse pour LRMP

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Elections départementales 2015 Résultats officiels 1er tour
Les candidats du 2e tour à #Toulouse

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Élections départementales en Haute-Garonne : le Conseil général pourrait-il passer à droite ?

Élections départementales en Haute-Garonne : le Conseil général pourrait-il passer à droite ? | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it


Les 54 élus du Conseil général de Haute-Garonne vont être renouvelés les 22 et 29 mars


 

L’UMP finalise actuellement la liste des candidats qui feront campagne sur les 27 cantons de Haute-Garonne en vue des élections des 22 et 29 mars prochains. Le Conseil général, bastion socialiste présidé par Pierre Izard depuis 1988, pourrait passer entre les mains de la droite et du centre à la faveur du contexte national. Afin de "gagner le département", l’UMP s'allie pour la première fois au Modem et à l’UDI. Arnaud Lafon, maire Modem de Castanet-Tolosan, semble même favori pour présidence du Conseil général en cas de victoire. Découvrez tous les candidats.

La liste UMP-Modem-UDI pour les départementales en Haute-Garonne sera présentée officiellement en janvier, après les derniers ajustements. "Le PS a un peu d’avance sur nous concernant le calendrier", concède Xavier Spanghero, secrétaire départemental adjoint de l’UMP 31 (les socialistes ont en effet présenté leurs candidats il y a plus d’une semaine). Dans l'espoir de remporter la majorité au Conseil général, l’UMP s’allie au Modem et à l’UDI. Ainsi, depuis plusieurs semaines, Laurence Arribagé, secrétaire départementale de l’UMP 31 et Xavier Spanghero négocient avec Jean-Luc Lagleize (président du Modem 31) et Jean Iglesis (président de l’UDI 31) pour présenter une liste commune de 54 candidats (et 54 suppléants). L'accord est selon toutes les parties prenantes "historique".

"La droite et le centre peuvent gagner"
"Il y a encore deux mois, nous partions en campagne pour reprendre des positions. Aujourd’hui, nous partons en campagne pour gagner." Xavier Spanghero, secrétaire départemental adjoint de l’UMP 31, voit dans "l’effondrement du PS" une réelle chance pour la droite de remporter le Conseil général de Haute-Garonne en mars prochain, une terre pourtant acquise à la gauche depuis 1945. "Il y a encore deux mois, c’était un bastion imprenable. Mais la gauche est désunie et nous avons de notre côté conclu un accord unique avec le centre. Beaucoup de bastions PS vont sauter", prédit le cadre de l’UMP 31. "Il y a deux paramètres importants à prendre en compte, développe Jean Iglesis : le taux d’abstention et la montée du FN. Nous ne pouvions pas nous permettre de présenter séparément nos candidats. Il est important de faire front." Même si le président de l’UDI 31 avoue que "quelques arbitrages ont été compliqués sur certains cantons", aujourd’hui la campagne se fait "dans un esprit conquérant". Jean-Luc Lagleize, président du Modem 31, confirme que "le centre et la droite ensemble peuvent gagner le Conseil général", précisant "pas la droite seule".

Qui pour succéder à Pierre Izard en cas de victoire ?
"Tous les candidats qui ont déjà exercé des fonctions exécutives ou qui sont maires de leur commune peuvent prétendre à la présidence du Conseil général en cas de victoire", annonce Xavier Spanghero.

Ainsi, selon ce critère, Philippe Plantade (maire sans étiquette de Bruguières), Pierre-Alain Dinthilac (maire sans étiquette de Labastide-Clermont), Alain Sottil (ancien maire UDI d’Eaunes), Patrick Lasseube (ancien maire Modem de Saint-Lys), Louis Palosse (maire sans étiquette de Mauremont), Michel Aujoulat (ancien maire UMP de Cugnaux), Jean-Marc Dumoulin (maire de Villemur-sur-Tarn, apparenté UDI), Élisabeth Barral (maire sans étiquette de Clermont-le-Fort), Jennifer Courtois (maire sans étiquette de Rieumes), Magali Mirtain Schardt (maire sans étiquette de Castelmaurou), et Marie-Helène Champagnac (ancienne maire sans étiquette de Fronton) peuvent concourir.

Mais un nom revient avec plus d’insistance : celui d’Arnaud Lafon, maire Modem de Castanet-Tolosan depuis 2001. "C’est une personnalité qui a de l’étoffe", selon Jean-Luc Lagleize. Le principal intéressé ne cache pas son ambition : "Je suis disponible si je peux être une valeur ajoutée pour la droite et le centre. Je fais partie de ceux qui ont l’expérience et une vision pour le département", affiche Arnaud Lafon. "Mais pour le moment, l’objectif est de remporter ce département !"

Les candidats
Les conseillers départementaux sont élus au scrutin majoritaire binominal mixte. La droite présente donc 27 binômes en Haute-Garonne (54 candidats auxquels s'ajouteront 54 suppléants). Sur la liste qui sera présentée en janvier, et sous réserve de modifications, 19 candidats sont issus de l’UMP.
Huit candidatures sont réservées à l’UDI, sept pour le Modem, une pour Debout la République (Olivier Arsac). 19 candidats sont "sans étiquette", ou issus de la société civile. "Jean-Luc Moudenc voulait placer ses adjoints et maires de quartiers, des gens de terrain, c’est chose faite", commente Jean Iglesis.

Toulouse 1 : Christophe Alvès (UMP - maire de quartier Lardenne-Pradettes-Basso-Cambo), Marthe Marti (Modem - Maire de quartier Fontaine-Bayonne, Cartoucherie)

Toulouse 2 : Olivier Arsac (Debout La République- adjoint en charge de la sécurité à Toulouse), Ghislaine Delmond (sans étiquette - Maire de quartier Amidonniers, Compans-Cafarelli)

Toulouse 3 : Emilion Esnault (Sans étiquette), Hélène Costes-Dandurand (sans étiquette - Maire de quartier Bonnefoy - Roseraie - Gramont )

Toulouse 4 : André Ducap (UMP), Jacqueline Winnepenninckx (Modem - Maire de Les Chalets, Bayard, Belfort, Saint-Aubin, Dupuy )

Toulouse 5 : Jean-Louis Chavoillon (UMP), Florie Lacroix (UDI - Maire de quartier Rangueil, Sauzelong, Pech-David, Pouvourville )

Toulouse 6 : Franck Biasotto (Sans étiquette - Maire de quartier Saint-Cyprien Croix-de-Pierre - Route d'Espagne), Marie-Jeanne Fouqué (sans étiquette - Maire de quartier Mirail, Reynerie, Bellefontaine )

Toulouse 7 : Laurent Laurier (UDI), Anne Boriello (UMP)

Toulouse 8 : Maxime Boyer (UMP - Maire de quartier du secteur Minimes-Barrière de Paris-Pont-jumeaux), Françoise Roncato (sans étiquette - Maire de quartier Trois Cocus, Borderouge, Croix-Daurade, Paleficat, Grand Selve)

Toulouse 9 : Laurent Lesgourgues (UMP - Maire de quartier Jolimont, Soupetard, Bonhoure), Christine Genarro (UMP) 

Toulouse 10 : Jean-Baptiste de Scorraille (UMP - Maire de quartier Côte Pavée, L'Hers, Limayrac), Sophie Lamant (UDI)

Toulouse 11 : Serban Iclanzan (UMP), Marion Lalanne de Laubadère (sans étiquette)

Auterive : Gérard Oneda (UDI), Françoise Borret (sans étiquette)

Escalquens : Hervé Bocco (UDI), Chantal Gauthier (UMP)

Léguevin : Jean-Marc Valette (UMP), Patricia Pialet (UDI)

Muret : Alain Sottil (UDI), Alexandra Bernard (UMP)

Tournefeuille : Michel Aujoulat (UMP), Sylvie Deguine (Modem)

Portet-sur-Garonne : Eric Gautier (Modem), Élisabeth Pouchelon (UMP)

Castanet-Tolosan: Arnaud Lafon (Modem), Elisabeth Barral (sans étiquette)

Castelginest : Philippe Plantade (sans étiquette), Claudine Machado (sans étiquette)

Plaisance-du-Touch : Patrick Lasseube (Modem), Florence Fabry (UMP)

Blagnac : David Gerson (UMP), Marie-Agnès Espa (Modem)

Saint-Gaudens : Philippe Casamitjana (UMP), Martine Rieugriffe (UMP)

Cazères : Pierre-Alain Dinthilac (sans étiquette), Jennifer Courtois-Périssé (sans étiquette)

Pechbonnieu : Jean-Bernard de Cools (UMP), Magali Mirtain-Schardt (sans étiquette)

Bagnère de Luchon : Philippe Maurin (UDI) + place réservée pour une femme UMP

Villemur-sur-Tarn : Jean-Marc Dumoulin (sans étiquette), Marie-Hélène Champagnac (sans étiquette)

Sophie Arutunian

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Municipales 2014 : trois ministres sont venus soutenir les candidats socialistes à Toulouse

Municipales 2014 : trois ministres sont venus soutenir les candidats socialistes à Toulouse | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

De gauche à droite : Stéphane Le Foll, ministre de l’agriculture, Joël Bouche, secrétaire du PS 31, et Kader Arif, ministre délégué aux anciens combattants

Frédéric Cuvillier, ministre des transports, Kader Arif, ministre délégué aux anciens combattants, et Stéphane Le Foll, ministre de l’agriculture, étaient tous les trois en visite vendredi 22 novembre à Toulouse. Objectif de l’opération : soutenir les candidats socialistes de Haute-Garonne aux prochaines élections municipales. Un soutien qui vise tout particulièrement Pierre Cohen, en course pour le Capitole.

Trois ministres sinon rien. Vendredi dernier, trois membres du gouvernement Ayrault étaient en visite à Toulouse. Frédéric Cuvillier, ministre en charge des Transports, de la mer et de la pêche, Kader Arif, ministre délégué aux Anciens combattants, et Stéphane Le Foll, ministre en charge de l’Agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, ont fait le déplacement pour soutenir officiellement les têtes de listes socialistes de Haute-Garonne pour les prochaines élections municipales.

"Les municipales constituent un enjeu local"

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Jacques Le Bris's insight:

Le couac des européennes
La visite ministérielle est intervenue au lendemain du vote des militants du PS, appelés à se prononcer sur la liste des candidats socialistes pour les municipales à Toulouse et pour les européennes. Et si la liste toulousaine a été validée, en revanche, le PS 31 a indiqué qu’une "large majorité de fédérations des trois régions composant la circonscription européenne Sud-Ouest" avait demandé de "surseoir à l’organisation du vote" de désignation des candidats aux prochaines élections européennes, "faute de quoi elles refuseraient de l’organiser ou elles appelleraient à rejeter la liste". Ce qui a conduit le PS à suspendre le vote. Le blocage, qui fait beaucoup de bruit actuellement au sein du Parti socialiste, serait lié à la volonté de la rue de Solférino de réserver la tête de liste au Parti radical de gauche. "Cette suspension laisse la porte ouverte à la discussion", philosophe Joël Bouche, secrétaire du PS 31.

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Pierre Cohen "n'est pas en campagne" mais sera bien candidat à la candidature en 2014

Pierre Cohen "n'est pas en campagne" mais sera bien candidat à la candidature en 2014 | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Pierre Cohen, maire de Toulouse


Lors de ses vœux à la presse ce lundi, le maire de Toulouse a confirmé être candidat à la candidature pour les prochaines élections municipales à Toulouse, sans pour autant vouloir entrer en campagne dès maintenant. Il a cependant défendu son bilan en termes de transports et de projet de ville. Pierre Cohen s’est également exprimé sur l’avenir de Francazal.

"Depuis 5 ans, j’ai l’ambition d’une ville ouverte et accessible à tous."

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