Moncton seeks input in bilingualism, development panels - New Brunswick - CBC News
Moncton is looking for citizens to sit on two new advisory committees to help the city shape future decisions on downtown development and bilingualism.
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L’anglais progresse au Québec comme langue de travail : pieuvre.caLes Québecois travaillent toujours majoritairement en français, même s’ils sont légèrement moins nombreux à employer la langue de Molière révèle une nouvelle étude publiée mardi par l’Office de la langue française (OLF). Selon les résultats divulgués, le bilinguisme serait ainsi en légère hausse dans l’ensemble de la province, et plus particulièrement à Montréal, où un employé sur cinq fonctionne désormais dans un environnement anglophone. Interpreters in danger 'won't be left behind'Defence Minister Jonathan Coleman has defended the resettlement package offered to interpreters working with New Zealand troops in Afghanistan. Labour's foreign affairs spokesman Phil Goff said the offer was lean in comparison to packages offered by other countries and could permanently scar New Zealand's reputation. The 23 interpreters currently working with the Provincial Reconstruction Team in Bamiyan were expected to be offered resettlement in New Zealand or a three year salary payout if they remain in Afghanistan. The offer does not include to former interpreters. Last week 12 former interpreters wrote a formal plea to the Defence Force asking the offer be extended to them. Spokesman for the group, Bashir Ahmad, said the former interpreters had begun to regret risking their lives as translators for New Zealand. Coleman said the Government would consider all factors and give everyone a fair hearing. Jerusalem: no need to translate document to ArabicJerusalem’s District Court will rule in the coming days whether the Jerusalem Municipality is obliged to translate into Arabic the planning documents concerning construction of a national park on land confiscated from the East Jerusalem villages of... Inventing English – it doesn’t just happen in AmericaEnglish is a language that offers us myriad choices. We can be unfailingly precise, but also poetic, and even funny. A sense of humor pervades many of the newest words entering English, via the technology industry. English still No. 1 in Charlottetown, but linguistic landscape changing: new census data saysCharlottetown remains overwhelmingly an English community, new census data shows, but an influx of Chinese-speaking residents over the last five years has changed the linguistic landscape. Israeli Supreme Court Project At Cardozo Law To Oversee English Translations Of Key Opinions Of The Supreme Court Of Israel - The Sacramento BeeNEW YORK, Oct. 19, 2012 -- NEW YORK, Oct. 19, 2012 /PRNewswire-USNewswire/ -- Cardozo School of Law, a division of Yeshiva University, will take over responsibility for translating significant cases of the Supreme Court of Israel into English. Read more here: http://www.sacbee.com/2012/10/19/4924065/israeli-supreme-court-project.html#storylink=cpy An Australian Dictionary Redefines Misogyny | PRI's The WorldIn politics, words can take on new meanings in the blink of an eye. The phrase “binders full of women” had zero currency before the second Obama-Romney debate. Now it’s what many people remember as the debate’s takeaway moment, full of perceived meaning about women, power and the workplace. That was the start of a speech that has rapidly become famous around the globe, thanks to YouTube. Nicaragua translates Constitution into indigenous languagesNicaragua translates Constitution into indigenous languages The congressmen and YATAMA leader says the translations were done by technical teams that spent three months getting the wordings right. He says the translations are faithful to the spirit of the Magna Carta. Vers une nouvelle politique française pour le développement de l'AfriqueLe financement du développement de l'Afrique est plus que jamais nécessaire et les promesses faites doivent être tenues malgré la crise financière. Hollande devra pas oublier de tenir ses engagements. François Hollande a prévenu : son premier voyage en Afrique marquera le début d'une nouvelle ère de coopération entre la France et le continent. Dans un entretien avant son départ pour le Sommet de la Francophonie, le Président français a dit vouloir "écrire avec l'Afrique une nouvelle page" à travers une politique respectueuse, transparente, mais "désireuse de dire la vérité" sur les droits fondamentaux et la démocratie. Le sommet représente donc pour le Président Français une opportunité unique de contribuer à la bonne gouvernance et au développement économique et social de l'Afrique. Le gouvernement français pourrait s'inspirer de notre Rapport 2012 sur les progrès en Afrique, "Emploi, justice et équité" qui émet des recommandations appropriées pour un nouvel engagement franco-africain. Gouvernance, démocratie et leadership africain Dès août dernier, François Hollande a fait passer un message clair : "La situation des droits de l'homme en RDC est inacceptable". Il est vrai que le pays enregistre des scores bas en matière de développement humain, de gouvernance et de transparence durant les élections. Le rôle du Président français n'est-il pas de souligner les valeurs démocratiques et de bonne gouvernance et de rappeler l'importance du multipartisme pour ? Au niveau de la gouvernance internationale, l'Afrique est un acteur de la mondialisation sur lequel il faut compter. Les pays africains doivent se coordonner pour peser davantage dans les négociations internationales, sur pied d'égalité avec les autres acteurs occidentaux et émergents. Notamment, François Hollande doit continuer de soutenir une présence renforcée de l'Afrique au Conseil de sécurité des Nations unies. Au niveau régional, la France pourrait encourager la Communauté Economique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) - avec l'appui de l'Union africaine et des Nations unies - à intensifier les efforts menant à la résolution des crises au Mali et en Guinée-Bissau, et éviter les effets de débordement régionaux. La communauté internationale, elle, doit aider à financer de manière appropriée les forces en attente de la CEDEAO et soutenir les efforts diplomatiques. M. Hollande a été clair ce jeudi : l'Afrique peut, et doit, apporter une réponse africaine - et coordonner la réponse internationale - aux conflits qui la déchirent. Education Dans le cadre de la réalisation des Objectifs de développement du Millénaire, l'Afrique a fait des progrès évidents pour favoriser l'accès des enfants à l'école. Mais le continent, tout comme les partenaires de développement et les pays donateurs, ont négligé la question de la qualité de l'enseignement et son adéquation avec la demande du marché de l'emploi, créant une "double crise de l'éducation". 14e sommet de la Francophonie: Eclairage sur une organisation sujette à polémique14e sommet de la Francophonie: Eclairage sur une organisation sujette à polémique Comme promis, Ali Bongo, le président gabonais (à g) a rencontré avant de se rendre à Kinshasa, son homologue rwandais Paul Kagamé (à d). Objectif : s'inspirer de son expérience de la langue de Shakespeare Une vingtaine de dirigeants de pays ayant pour héritage la langue française, vont se réunir à Kinshasa, la capitale de la RDC, du 12 au 14 octobre prochain en présence du président français François Hollande. Eclairage sur un sommet et surtout une organisation qui suscitent beaucoup de polémique. En 1970 ces dirigeants ont mis sur pied l'Agence de Coopération Culturelle et Technique, (ACCT), l'ancêtre de l'actuelle OIF. Quatre décennies après, l'Afrique reste toujours très attachée à la langue de Molière. Sur les 56 pays membres de la Francophonie, le continent en compte 30. Abdou Diouf, le secrétaire général de l'OIF révèle qu'à l'horizon 2050, l'espace francophone comptera 715 millions d'âmes dont 85% seront en Afrique. La République Démocratique du Congo, (RDC), hôte de ce 14e sommet est le pays où l'on parle le plus français dans le monde. Peuplée aujourd'hui de 69 millions d'habitants, elle comptera plus de 150 millions d'habitants dans 40 ans. L'ancien président sénégalais qui dirige l'organisation, ne s'est pas trompé en affirmant que « l'Afrique est le futur de la Francophonie». Pour ceux qui estiment que la Francophonie est une sorte d'acculturation, Abdou Diouf rétorque qu'il s'agit plutôt de complémentarité entre le Français et les langues africaines. Ces dernières, selon le secrétaire général de l'OIF, demeurent les langues de base des africains, le Français ne constituant que la langue de l'administration. Il a même conseillé, pour des raisons pédagogiques, que l'enseignement au cours des deux premières années du primaire, se déroule en langue locale. Ceci permet à l'enfant, dira t-il, de mieux apprendre le Français et d'avoir une scolarité plus facile. La foi du secrétaire général de l'organisation dans la langue française, n'est pas partagé par tout le monde, y compris par certains chefs d'Etat pour des raisons qui n'ont souvent pas été clairement avouées. C'est le cas du Rwandais Paul Kagamé qui a décidé depuis quelques années de remplacer le Français par l'Anglais comme première langue du pays, après les langues locales. Les justifications d'ordre pratique évoquées par les autorités rwandaises cachaient mal les raisons politiques qui sous-tendaient cette décision. En effet, la relégation du Français au second rang, est survenue après une brouille de Kigali avec Paris au sujet d'un rapport d'enquête de la France qui mettait gravement en cause le président Kagamé dans la destruction de l'avion du président Habyarimana, l'acte déclencheur du génocide. A la veille du sommet de Kinshasa, c'est le Gabonais Ali Bongo, dont le père, le défunt président Omar Bongo Ondimba était pourtant un fidèle ami des différents locataires de l'Elysée, qui jette un véritable pavé dans la marre francophone. En route pour Kinshasa, il a promis de s'arrêter à Kigali, et il l'a fait, chez Kagamé son homologue rwandais, afin de copier son expérience de la langue de Shakespeare. Pour l'opposition gabonaise, ce n'est qu'un coup de bluff du jeune dirigeant après les critiques de Paris sur sa gouvernance. Pour éviter la polémique, le secrétaire général de la Francophonie estime que chaque pays de l'espace francophone « a le droit de définir sa politique ». 42 ans après la création de l'Acct mère de l'OIF, l'organisation qui se voulait au départ plus culturelle qu'autre chose, est aujourd'hui très politisée. La France veut certes avoir en commun sa langue avec les autres pays, notamment ceux d'Afrique, mais elle veut également partager avec eux, les autres valeurs comme la démocratie, les droits de l'homme, la bonne gouvernance. De l'anglais au Gabon : Ali Bongo coupe court à la polémiqueDe l'anglais au Gabon : Ali Bongo coupe court à la polémique Un avis partagé par le président Kagame : « Nous ne nous serions pas rencontrés pour discuter de ces petites choses. Le président n’aurait pas abandonné toutes les choses qu’il était en train de faire et venir ici pour simplement parler de langues. Je suis sûr que le président n’y pensait même pas. Je peux vous assurer que c’était quelque chose que nous n’avions pas dans notre agenda et dont nous n’avons même pas parlé. » Le Gabon ne veut plus de la langue françaiseLe Gabon ne souhaite plus parler français, mais préfèrerait que dorénavant l'Etat fonctionne avec la langue anglaise, bien plus attrayante économiquement parlant. Gabon set to snub French and promote English as nation's second language in bid to 'improve opportunities' for its peopleThe French-speaking African country of Gabon is moving on from the language of its former colonisers and introducing English across the nation. Read more: http://www.dailymail.co.uk/news/article-2214994/Gabon-set-ditch-French-English-nations-second-language-bid-improve-opportunities-people.html#ixzz29CIsufaD El idioma de los políticos - Estrella DigitalEl idioma de los políticos Sólo así se entiende que el Eurogrupo diga que España no precisa de un rescate inminente ya que hay menos presión en los mercados y que por tanto puede esperar. Creo que traducido vendría a decir que se lleva negociando tiempo, que está muy adelantado pero que en estos momentos a Alemania y a Merkel no les viene bien porque nos tienen cogidos por el cuello y quieren apretar un poco, para que cunda el ejemplo de lo que les pasa a los malos, y han dicho que toca esperar hasta que se acumulen varios rescates. O De Guindos en Londres, dónde dijo que España no necesita un rescate. La traducción vendría a ser algo así como que se está negociando pero que no queremos un rescate completo a la portuguesa, sino mantener el acceso al mercado y que bajo ningún concepto podrá denominarse rescate oficialmente. También están las palabras de Rajoy en Malta, donde dijo literalmente "tomaremos la decisión que nos parezca que es la mejor, sin desechar ninguna posibilidad, para los intereses generales de los españoles" y además que "es muy difícil recuperar la inversión y el empleo si España se sigue financiando a los actuales precios". Traducido vendría a ser como que se está negociando el rescate pero por delante están las elecciones gallegas, vascas y Arriola, por lo que tengo que ganar tiempo ya que tengo miedo a la que me pueda caer a nivel popular y además, me gustaría que consistiera en una intervención en solitario del BCE en los mercados sin contrapartida ni compromiso de clase alguna por parte de mi gobierno. Creo que es hora ya que de una vez por todas, hablen todos el mismo idioma y se entiendan y nos entendamos, porque en nuestro país el año próximo, de unos gastos de 169.000 millones 38.500 serán intereses, ya que nos financiamos a tipos muy altos, al tiempo que Alemania e incluso Francia, en algunos momentos sus tipos son negativos. Le Gabon, futur pays anglophone ?Lu sur RFI A dix jours de l’ouverture du sommet de la Francophonie, à Kinshasa, le président gabonais Ali Bongo a jeté le trouble en exprimant le souhait que son pays se mette à l’anglais. S’inspirant du Rwanda qui a misé sur le bilinguisme français-anglais, Ali Bongo va d’ailleurs se rendre à Kigali les 5 et 6 octobre prochains pour « regarder de plus près » cette expérience. Partenaire privilégié de la France en Afrique, le Gabon se laisserait donc séduire par les vertus de la langue de Shakespeare. Pragmatique avant tout, Ali Bongo pèse les avantages qu’offre le bilinguisme notamment en observant le Rwanda où il se rendra dans les prochains jours. Pays membre de la Francophonie depuis 1967, comme le Gabon, le pays du président Paul Kagame, excellent anglophone au demeurant, fait également partie de la communauté du Commonwealth depuis 2009. Si le Rwanda de Paul Kagame a souhaité avant tout établir une distance avec la France qu’il accuse d’avoir soutenu l’ancien régime génocidaire, en rejoignant le Commonwealth, Ali Bongo, lui, se défend de telles arrière-pensées. Selon les déclarations du porte-parole de la présidence, Alain-Claude Bilie-By-Nze, il s’agit de voir si le Gabon peut introduire l’anglais, à l’instar des Rwandais, « comme langue de travail dans un premier temps, puis plus tard, voir comment l’anglais peut devenir une seconde langue ». Angola Press - Afrique - Le Québec s'inquiète de la volonté du Gabon de favoriser l'anglais (ministre)
MONTREAL - La volonté du Gabon de favoriser l'anglais suscite "l'inquiétude" du Québec, qui compte bien appeler à la vigilance lors du Le président du Gabon Ali Bongo, un des plus proches alliés de la France en Afrique, a semé le trouble lundi en se prononçant pour l'introduction de l'anglais dans son pays et en vantant le modèle du bilinguisme au Rwanda. "C'est un sujet d'inquiétude", a déclaré à l'AFP le ministre Jean-François Lisée de cette province francophone du Canada. "Sans vouloir m'ingérer dans les affaires intérieures gabonaises, nous, nous avons beaucoup résisté à l'idée d'un bilinguisme officiel. Car quand il est officiel, il ne donne pas aux populations, à la culture et aux entreprises, le signal que la langue privilégiée est la langue française", a-t-il noté. Le président Bongo doit se rendre à Kigali jeudi et vendredi pour étudier l'expérience rwandaise. Après le génocide de 1994 et l'arrivée au pouvoir d'une diaspora tutsi ayant vécu pendant des années en Ouganda, pays voisin anglophone, Kigali a favorisé l'anglais dans les écoles et l'administration. La langue de Shakespeare est aujourd'hui l'une des trois langues officielles, aux côtés du kinyarwanda et du français. "Le multilinguisme des individus, des entreprises, la capacité --nous le savons très bien, les Québécois-- à se projeter dans d'autres pays qui ont d'autres langues, c'est un atout", a reconnu M. Lisée. Toutefois, la Première ministre québécoise, Pauline Marois, profitera du sommet de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) pour "introduire la question linguistique et évidemment le message sera la nécessité d'être vigilant", a souligné le ministre, qui doit accompagner Mme Marois à Kinshasa. Tax Department Expands Free Language Translation ServicesThe New York State Department of Taxation and Finance announced today it has expanded its free interpretation and translation services to the public. This enhanced multilingual support is the result of Governor Andrew M. Cuomo's Executive Order of last year directing the Department, and all State agencies, to help people with limited English proficiency better interact with State government. Translated documents will be offered in New York's most commonly spoken non-English languages - Spanish, Chinese, Russian, Italian, Korean, and Haitian Creole. The Department also has bilingual staff able to provide interpretation services in 37 languages, including Vietnamese, Swahili, Polish, Farsi, and Hebrew. The Tax Department has been providing a limited number of Web pages and documents in Spanish, as well as making interpretation services in multiple languages available for taxpayers. Beginning today, the array of vital documents is significantly expanded, with each of them available in the six languages noted above. "An individual's language should not be a barrier to receiving information and assistance from our Department," said Commissioner of Taxation and Finance Thomas H. Mattox. "Our goal is to help taxpayers with limited English skills better understand our publications and services, such as money-saving credits, for which they may be eligible. We applaud Governor Cuomo for his leadership on this critical initiative." The Department is now including a brief multi-language insert in many of its mailings to individuals, businesses and tax return preparers. Recipients of the notice are guided to assistance in each of six non-English languages. Margaret Sherman, Deputy Commissioner for Processing and Taxpayer Services, said that over time the Department expects to expand the number of translated documents available at its Web site as part of an ongoing effort to broaden access to information for all taxpayers. "Taxpayers who receive notices from us can now reach our call center staff and ask for the document to be interpreted into any language," she added. Autour de la langue BCMS (Thomas/Osipov) | Bosnie-Herzégovine sur Internet - BH InfoAutour de la langue BCMS (Thomas/Osipov) Aussi, malgré des noms différents – que l’on regroupera sous le sigle BCMS, reprenant les quatre initiales et suivant l’ordre alphabétique –, est-il pleinement justifié de présenter la grammaire (phonologie, morphologie, syntaxe) de ces quatre langues standard relevant d’un seul et même système linguistique, à travers un texte commun et unique – le présent ouvrage. TV5MONDE : actualites : Gabon/bilinguisme: l'opposition dénonce unGabon/bilinguisme: l'opposition dénonce un "chantage" contre la France LIBREVILLE, 05 oct 2012 (AFP) - 05.10.2012 17:22 Hubert T. Lacroix nommé pour un deuxième mandat à la tête de Radio-Canada | Grands Titres | Radio-Canada.caLe président-directeur général de CBC/Radio-Canada, Hubert T. Lacroix, est reconduit dans ses fonctions pour un deuxième mandat de cinq ans. Le Québec s'inquiète de la volonté du Gabon de favoriser l'anglaisMONTREAL - La volonté du Gabon de favoriser l'anglais suscite l'inquiétude du Québec, qui compte bien appeler à la vigilance lors du sommet de la Francophonie, qui se tient à Kinshasa du 12 au 14 octobre, a indiqué mercredi le ministre québécois des Relations internationales. Le président du Gabon Ali Bongo, un des plus proches alliés de la France en Afrique, a semé le trouble lundi en se prononçant pour l'introduction de l'anglais dans son pays et en vantant le modèle du bilinguisme au Rwanda. C'est un sujet d'inquiétude, a déclaré à l'AFP le ministre Jean-François Lisée de cette province francophone du Canada. Sans vouloir m'ingérer dans les affaires intérieures gabonaises, nous, nous avons beaucoup résisté à l'idée d'un bilinguisme officiel. Car quand il est officiel, il ne donne pas aux populations, à la culture et aux entreprises, le signal que la langue privilégiée est la langue française, a-t-il noté. Le président Bongo doit se rendre à Kigali jeudi et vendredi pour étudier l'expérience rwandaise. Après le génocide de 1994 et l'arrivée au pouvoir d'une diaspora tutsi ayant vécu pendant des années en Ouganda, pays voisin anglophone, Kigali a favorisé l'anglais dans les écoles et l'administration. La langue de Shakespeare est aujourd'hui l'une des trois langues officielles, aux côtés du kinyarwanda et du français. Putin Jokes About Orgies to Cast Pussy Riot Protesters as DegeneratesIn comments broadcast on Thursday, Russian President Vladimir Putin joked about the reputed benefits of group sex for the lazy as he attacked the morals of three women from the punk band Pussy Riot. ... Before replying at all, Mr. Putin asked the British reporter, “Could you please translate the name of the band into Russian?” When the reporter demurred, Mr. Putin continued: “Can you translate the first word into Russian? Or maybe it would sound too obscene? Yes, I think you wouldn’t do it because it sounds too obscene, even in English.” When the journalists tried to pass the matter off as a joke — “I actually thought it was referring to a cat” — Mr. Putin again stressed the obscene nature of the group’s name. “I know you understand it perfectly well, you don’t need to pretend you don’t get it,” he said. “It’s just because these people made everyone say their band’s name too many times. It’s obscene – but forget it.” The Russian president then described a series of political stunts that some of the jailed women were involved in before they formed Pussy Riot. Referring to acts of performance art carried out in previous years by another group of dissident artists, the collective known as Voina, or “War” in Russian, Mr. Putin said: First, in case you never heard of it, a couple of years ago one of the band’s members put up three effigies in one of Moscow’s big supermarkets, with a sign saying that Jews, gays and migrant workers should be driven out of Moscow. I think the authorities should have looked into their activities back then. After that, they staged an orgy in a public place. Of course, people are allowed to do whatever they want to do, as long as it’s legal, but this kind of conduct in a public place should not go unnoticed by the authorities. Interpreting politicsPolitics can be hard to make sense of at the best of times, but for parliamentary interpreters and translators it is a full-time job. At the European Parliament, translation is a mammoth task. Since 2007, there have been 23 official languages spoken by the EU member states, each of which must be translated into the 22 other languages - a total of 506 possible combinations. An army of 700 is employed to translate official documents such as agendas, draft reports, amendments, resolutions, written and oral questions, and minutes. Interpreting - which refers to oral translation - requires up to 1,000 interpreters to be on hand for plenary sessions of Parliament. "I always felt very European," says Daniel Pashley. Pashley did not come from a multilingual family, but fell in love with languages at school. He went on to study languages at King's College London and took a Master's at the University of Bradford. Throughout this time he says he did not realise that it could be a career for him. "I assumed interpreters had to be bilingual (brought up speaking two languages), but when I read that was not the case I realised this was what I wanted to do. I had always felt very European and wanted a job where I could make the most of that." Pashley insists that understanding politicians is no more difficult than understanding anyone else. "There is a lot of technical language you have to learn, but on the whole politicians are easy to understand and rather predictable. They use fewer colloquialisms than you would hear, say, in a soap opera or in a conversation on the street." Francophonie: le Gabon, terre francophone, veut se mettre à l'anglaisFrancophonie: le Gabon, terre francophone, veut se mettre à l'anglais Le Gabon est l'un des relais privilégiés de l'influence de Paris en Afrique, et les liens politiques, économiques et culturels entre les deux pays sont très étroits. |