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Pamiers compte une seconde «boîte à donner». La première est rue du Maréchal-Clauzel. La seconde est rue de la Tannerie. Le livre y est roi et aussi les fleurs ! C'est un concept qui se fait jour peu à peu. Celui de la «boîte à donner»
L'association «Pamiers 4D», en charge du FabLab local, continue ses rencontres. La dernière sortie a eu lieu mercredi dernier, à la médiathèque, avec des habitants issus du Foulon. Le Fab Lab essaime ses idées dans la cité appaméenne !
Homme de l'ombre, l'artiste à l'origine des affiches de Fiesta et de Belles Époques revient sur son parcours et ses influences. Un passionné tombé dans la magie du pinceau il y a une cinquantaine d'années. Le coup de pinceau est connu !
Répondant à l'invitation de l'association «Regards de Femmes» et de la médiathèque, elle sera présente à Pamiers, mardi 8 mars, pour deux rendez-vous. Le premier se fera sous la forme d'un apérilivre convivial, à la médiathèque de Pamiers, à 18 heures, où elle présentera et dédicacera son dernier opus, «Sacrée croissance ! Comment s'en sortir», préfacé par Matthieu Ricard. Le livre met en lumière les initiatives qui s'éloignent du productivisme et du consumérisme, celles qui encouragent un «toujours mieux» plutôt qu'un «toujours plus». Interrogeant économistes, sociologues et philosophes, elle décortique le dogme de la croissance en le confrontant aux défis du XXIe siècle : le changement climatique, l'épuisement des ressources, la réduction de la biodiversité, la crise financière et sociale.
C’est une invitation à la beauté qui est proposée à la Médiathèque jusqu’au 31 mars. En effet, Michelle Duchêne présente ses sublimes et étonnantes sculptures. La matière utilisée est une pâte de papier journal trempé dans l’eau, posé sur une structure de tige métal ou polystyrène extrudé. Après plusieurs collages et séchages successifs, l’artiste peut alors donner forme à son personnage, grand ou petit, au grès de ses envies. Des femmes en général, des enfants aussi. Elle façonne ainsi leur attitude, leur tenue vestimentaire, leurs gestuelles, leurs regards, intenses regards qui attirent terriblement et qui interpellent complètement. Après avoir fait les beaux-arts en céramique, et quelques années après une vie professionnelle incontournable et obligée, c’est au détour d’une exposition toulousaine qu’elle a un coup de cœur pour la matière utilisée par l’artiste.
C'est une bonne vingtaine de personnes qui sont venues assister à la réunion publique à la Maison des Associations autour de Bernard Brunet et Vincent Goizet, les initiateurs du projet. Enseignants, ingénieurs, informaticiens, représentants du monde économique, bricoleurs, curieux, tous ont pu découvrir ce qu'était un FabLab grâce à une courte vidéo qui en expliquait simplement les trois principes : apprendre, faire, partager.
Plus d'une vingtaine de personnes a répondu à l'invitation de l'association "Penser la Ville" afin de présenter le projet de création d'un FabLab ou Laboratoire de Fabrication sur Pamiers.
Un laboratoire de fabrication : un fab lab en anglais. C'est le projet de l'association Penser la ville à Pamiers, dans le cadre du projet de ville. Une réunion publique est prévue le 11 février.
l a fait son trou à Pamiers : c'est de l'espace d'art contemporain des Carmes qu'il s'agit. Son animateur Daniel Despothuis, s'est engagé avec passion dans cette aventure. Créé en 2012, l'espace d'art contemporain est devenu une référence en matière de promotion et de diffusion des arts plastiques. Rencontre avec Daniel Despothuis, président de l'association «ART PLUS», gestionnaire du site et commissaire d'exposition.
Chaque jeudi à partir de 18 heures, l'Amap de Pamiers dévoile ses étals à la salle du Jeu-du-Mail. Et ils sont de plus en plus nombreux à venir faire leur marché. «Consom'acteurs» et producteurs de Pamiers et de ses environs préservent l'agriculture locale. Direction l'Amap (Association pour le maintien de l'agriculture paysanne), au Jeu-du-Mail, pour remplir son panier de fraîcheur, avec l'objectif de manger sain, mais aussi d'aider et soutenir les producteurs dans leur désir de ne faire que de la qualité.
L'art de la scène, c'est bien, mais quand il s'adapte, ça peut être encore mieux ! La Compagnie Ariégeoise Cimi'Monde se lance, pour leur nouveau spectacle, dans une étrange aventure : le spectacle audiodécrit. Pourquoi les déficients visuels ne pourraient-ils pas comprendre le jeu de scène de la comédienne-danseuse-conteuse qu'est Carmen ?
L’histoire a débuté en 1870 à Mazères, au pays du chapeau. A l’époque il y avait quatre chapelleries dans la bastide et l’oncle de la grand-mère de Jacqueline était déjà fabriquant de casquettes. A l’époque, les dames ne sortaient jamais «en cheveux», il y avait un chapeau pour chaque occasion. Dans les années 50, l’activité s’essouffle un peu, le chapeau n’est plus à la mode, on en porte moins. Les grands-parents de Jacqueline diversifient leur activité avec la vente de laine à tricoter, ils font les marchés avec toujours l’idée un jour de s’installer à Pamiers, la capitale.
«Mots tissés et bouches décousues», voilà un atelier dont on entend souvent parler, dont on voit les affiches, mais à quoi correspond-il ? Il s’adresse aux parents ou grands-parents (ou encore aux assistantes maternelles) et à leurs enfants âgés juesqu'à quatre ans.
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Après avoir essaimé de timides tentatives dans les quartiers, le mouvement des «Incroyables comestibles» s'installe en cœur de ville. Nouveau point de chute, les abords de la médiathèque.
L'expérimentation des jardins partagés essaime ses graines dans le quartier du Foulon. Un dispositif qui a déjà fait ses preuves dans d'autres quartiers de la cité appaméenne. Un nouvel espace vert communal dédié aux jardiniers est ouvert dans le quartier du Foulon. Mis à disposition gracieusement par la ville, il est géré par l'association Grains d'envie. Sur place, chaque parcelle a son référent. Ici, c'est Hamid, et neuf personnes, essentiellement des femmes, viennent y jardiner. Un véritable lien social se crée entre ces gens qui cultivent leur potager. «Beaucoup ont prouvé qu'ils avaient déjà la main verte mais n'ont jamais eu de jardin de leur vie, précise Hamid au milieu de son espace. Grâce aux parcelles, ces personnes ont aujourd'hui des légumes à foison et ont fait du jardin une passion.»
Branchée sur l'autoroute, Pamiers profite de sa proximité avec l'agglomération toulousaine. Le marché reste assez dynamique sur ce secteur du département qui attire retraités et primo-accédants. Ils trouvent, à des prix très attractifs, une offre assez variée de maisons anciennes. «Depuis décembre 2015, ça repart, se félicite Jérémy Marty, de Carrefour Immo. Les prix qui avaient baissé jusque-là deviennent plus stables. On trouve à Pamiers des maisons de ville avec jardin, dans une fourchette de 80 000 à 150 000 €, beaucoup d'entre elles, bien sûr, nécessitent des travaux. Mais la ville retrouve une clientèle, en particulier de jeunes couples.» L'offre d'appartements en bon état n'est pas énorme sur Pamiers mais les candidats à l'acquisition peuvent trouver des T2 pour 45 000 € ou des T4 aux environs de 100 000 €. La demande locative est en hausse sensible : des ménages à petits budgets peuvent louer un T3 de 70 m2 pour 450 à 500 € par mois.
La politique de la ville mise en œuvre à travers le contrat de ville prend un nouveau tour avec l'appel à projets. Le 11 septembre dernier, la communauté de communes du pays de Pamiers, la ville de Pamiers, l'État et de nombreux partenaires dont le conseil régional et le conseil départemental ont signé le contrat de ville. Il porte un ensemble d'actions concrètes en faveur des habitants du quartier prioritaire de Pamiers. Les collectivités s'engagent mutuellement dans cette affaire. Grâce à un diagnostic établit en commun, le contrat de ville a fixé des orientations et des objectifs sous forme de «fiches actions». C'est un élément essentiel de la politique municipale pour ne pas dire primordial en matière de développement économique et sociétal. C'est le passage obligé pour que la ville obtienne des financements extérieurs qui vont lui permettre de mener à bien ses projets. D'une part la collectivité fixe ses propres projets, mais les citoyens peuvent concourir à cette démarche. C'est ainsi que chaque année, un appel à projets qui tient compte des priorités identifiées dans le Contrat de ville est élaboré en commun par les partenaires de la politique de la ville.
À Pamiers, l'initiative d'un Fab Lab est portée par l'association Penser la ville. «Le projet est plutôt tourné vers le grand public avec une notion d'éducation populaire, de permettre aux gens de se découvrir une âme de maker (fabricant). L'idée est d'implanter le Fab Lab dans le centre-ville de Pamiers, de permettre à des gens venant d'univers très divers notamment des jeunes des quartiers de se rencontrer et de se côtoyer» explique Bernard Brunet, l'un des initiateurs du projet, qui espère que le Fab Lab sera retenu dans le cadre du contrat de ville. «Nous voulons une structure vraiment ouverte, accessible notamment aux artisans, aux start-up pour pouvoir tester une idée, par exemple. L'un des membres de l'association, qui est ingénieur, a conçu un capteur thermique. S'il avait eu accès à un Fab Lab local, il aurait gagné beaucoup de temps» détaille Bernard Brunet. Le Fab Lab est conçu comme un espace ouvert qui met à disposition un certain nombre d'équipements comme une imprimante 3D, mais pas seulement. Au-delà de l'aspect machine, l'idée du Fab Lab, définie par la charte du MIT, est d'adosser la structure à une communauté composée de professionnels et d'amateurs. L'expertise des uns peut nourrir les idées des autres. Ces espaces de fabrication sont souvent associés à des espaces de coworking et autres espaces dédiés au télétravail.
Dans une société en transitions (écologique, numérique, du travail, démocratique ..) où l’ancien ne peut plus fonctionner comme avant de nouveaux possibles s’expérimentent sur les territoires. A l’école, dans l’entreprise, dans le vivre ensemble, dans le souci du développement durable, la recherche de sobriété, dans de nouvelles pratiques collaboratives, dans la co-production de communs, des milliers d’innovations sociales sont à l’œuvre portées par des individus, des collectifs préoccupés par une transformation au quotidien de leur pratique sociales. A l’échelle de territoires locaux, ce sont toute une série de micro-transformations qui portent en germe un projet de transformation sociale qui ne semble plus porté par un monde politique en panne de vision d’un avenir solidaire et partagé qui favorise le pouvoir d’agir de chacun-e. Pour autant nous sommes loin d’une convergence spontanée sur les territoires de ces acteurs des transitions. Les un-e-s et les autres sont souvent pris-e-s par la difficulté de l’action au quotidien dans des espaces d’initiatives fortement contraints. Les collectivités n’ont pas encore pris la mesure de l’importance d’une animation des territoires qui favorise le pouvoir d’agir, donne à voir et relie ces myriades d’innovations sociales.
L'AMAP a organisé samedi dernier son traditionnel buffet découverte, pour la troisième année consécutive. L'occasion pour les adhérents, au nombre de 68, de se retrouver en famille ou avec des amis autour de la présidente Marielle Mourlane.
Un lieu de convivialité Ce théâtre de verdure sera un lieu d'accueil de multiples activités. On pourra y croiser les élèves de la classe de théâtre du Castella (Pyrène), ceux du conservatoire de musique, pourquoi pas les artistes indépendants qui peuvent s'approprier ce nouveau lieu scénique, les répétitions d'artistes (acteurs ou danseurs) invités à se produire à Pamiers. Et tout simplement des spectacles.
Sébastien Rojas, président de l'association Festival de théâtre en Ariège, revient sur les 28 années d'aventure théâtrale, partagées avec un e équipe dynamique, et les ambitions pour l'année. Portée par une équipe bénévole, dynamique et passionnée, l'association du Festival de théâtres d'Ariège (AFTHA) s'apprête à débuter sa 28e saison dans le cadre des «Balades culturelles». Rencontre avec Sébastien Rojas, son président.
L'association Regards de femmes prépare déjà la journée internationale pour l'élimination des violences faites aux femmes, prévue le 25 novembre. Des actions sont prévues à Pamiers et à Foix. L'Ariège se mobilise en faveur des femmes.
À cette réussite, la volonté farouche de donner aux jeunes Appaméens une journée de bonheur, gratuite, en cœur de ville, un samedi entier et qui plus est sous un superbe soleil. Une vitrine de tout le savoir-faire du service enfance jeunesse de la ville de Pamiers, une transversalité de tous les services municipaux qui n’ont pas ménagé leur peine tout au long de la journée, sans compter les jours précédents pour la préparation de l’évènement.
Naïmé Schwab, de l’association Regards de femmes à Pamiers, et Sabine Huppert, de l’AFTHA, évoquent avec nous ces journées de mobilisation appaméenne autour de la question des violences faites aux femmes.
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